Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême, est marqué par l’imposition des cendres : le prêtre dépose un peu de cendres sur le front de chaque fidèle, en signe de la fragilité de l’homme, mais aussi de l’espérance en la miséricorde de Dieu. En 2020, il est fêté le mercredi 26 février.
On trouve déjà le symbolisme des cendres dans l’Ancien Testament. Il évoque globalement la représentation du péché et la fragilité de l’être. On peut y lire que quand l’homme se recouvre de cendres, c’est qu’il veut montrer à Dieu qu’il reconnaît ses fautes. Par voie de conséquence, il demande à Dieu le pardon de ses péchés : il fait pénitence.
Un symbole de renaissance
Tous, nous faisons l’expérience du péché. Comment s’en dégager ? Jésus nous apprend que nous serons victorieux du péché quand nous aurons appris par l’Evangile à remplacer le feu du mal par le feu de l’Amour. Car le feu qui brûle ce jour détruit d’abord mais, en même temps, ce feu éclaire, réchauffe, réconforte, guide et encourage.
La cendre est appliquée sur le front pour nous appeler plus clairement encore à la conversion, précisément par le chemin de l’humilité. La cendre, c’est ce qui reste quand le feu a détruit la matière dont il s’est emparé. Quand on constate qu’il y a des cendres, c’est qu’apparemment il ne reste plus rien de ce que le feu a détruit. C’est l’image de notre pauvreté. Mais les cendres peuvent aussi fertiliser la terre et la vie peut renaître sous les cendres.
Tout en le marquant, le prêtre dit au fidèle : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle ». L’évangile de ce jour est un passage de saint Matthieu – chapitre 6, versets 1 à 6 et 16 à 18 – qui incite les fidèles à prier et agir, non pas de manière orgueilleuse et ostentatoire, mais dans le secret de leur cœur :
Quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que te donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais en secret.
Quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret.
Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement du Père qui est présent dans le secret.
Le Mercredi des Cendres, est un jour de pénitence qui marque le début du Carême, d’une durée de quarante jours. C’est une fête mobile qui a lieu 47 jours avant Pâques en comput ancien1. La veille du mercredi des Cendres est le dernier jour « gras » avant le carême ; ce jour est fêté comme Mardi Gras.
Pour les Églises d’Orient, c’est le Lundi Pur qui marque l’entrée en Carême deux jours avant le Mercredi des Cendres, soit 48 jours avant la fête de Pâques1.
Quelle est la symbolique des cendres ?
Qu’est-ce que le mercredi des cendres ? D’où vient cette coutume ? Le Père Olivier de Cagny, président de la Commission de la Pastorale liturgique et sacramentelle, répond à ces questions.
Mercredi des Cendres : Quèsaco ?
Le carême est sur le point de commencer et vous avez peut-être prévu de vous rendre à la messe du Mercredi des Cendres la plus proche de chez vous. Mais à quand remonte cette tradition ? Quel rôle jouent exactement les cendres, et quel est le sens spirituel des paroles du prêtre au moment de leur imposition ? Réponses comme chaque semaine avec Loïc Landrau et Le Père Klasen. Quèsaco du 02/03/2019.
Le Carême commence le Mercredi des Cendres, mercredi 26 février 2020, et s’achève le Jeudi Saint, le 9 avril 2020, avant la célébration de la Cène du Seigneur. La Semaine Sainte, qui commence avec le dimanche des Rameaux 5 avril 2019, commémore la Cène, la Passion et la mort du Christ sur la Croix. Le Samedi Saint au soir et le dimanche de Pâques, le 12 avril 2020, les chrétiens célèbrent la résurrection du Christ.
La durée du Carême – quarante jours sans compter les dimanches – fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert entre son baptême et le début de sa vie publique. Ce chiffre de quarante symbolise les temps de préparation à de nouveaux commencements.
Qu’est-ce que le carême ? Comment vivre son carême ? Quelles démarches peut-on suivre ? Rencontre avec Mgr Michel Aupetit, archevêque du diocèse de Paris qui nous donne quelques pistes de réflexion sur le carême.
Le Carême est le temps de la conversion, du silence, de la réconciliation avec Dieu, du partage
Pourquoi le Carême dure-t-il 40 jours ?
Cette semaine dans le Pourquoi du Comment : pas de crêpes, pas de coquille Saint-Jacques, pas de Pets-de-Nonne… Rien d’alimentaire ! Nous sommes effectivement en plein carême et il est bien normal de ne pas tenter ceux d’entre vous qui vivez ce moment important pour les chrétiens, d’autant qu’il faut normalement tenir… 40 jours. Cela pose d’ailleurs une question intéressante : pourquoi le carême dure-t-il 40 jours ? Vous découvrirez dans cette émission combien le chiffre 40 est symbolique, notamment en se rappelant du combat qu’a mené Jésus dans le désert face aux forces du mal qui le tentaient. Le Pourquoi du Comment du 16/02/2013.
Les recettes culinaires de Carême et de Pâques
Le carême est un période de jeûne, certes. Mais au fil du temps, les anciens ont inventé toute une série de recettes de cuisine pour se sustenter malgré les restrictions. Des plats sans viande, sans oeuf, sans lait, qui sont toujours présent dans le patrimoine de nos régions. Et puis, Pâques arrive à grand pas et il est temps de penser à ce que vous allez préparer pour accueillir vos proches ! Vous verrez ce que l’on sert à cette occasion aux quatre coins du pays. Une émission qui vous mettra l’eau à la bouche. Le Pourquoi du Comment du 21/03/2015.
Pâques est la plus grande fête chrétienne. C’est pourquoi les chrétiens s’y préparent pendant quarante jours : c’est le Carême. Dans la Bible, le chiffre « Quarante » indique le temps de renouvellement nécessaire pour accomplir quelque chose d’important. La prière, le jeûne et le partage sont les trois piliers de ce temps dont le but est d’aller à la rencontre du Christ et de s’ajuster à la volonté de Dieu. Regard biblique du 21/02/2012.
Le Carême c’est quoi ?
Votre RDV du mercredi avec « Les petites vidéos du diocèse de Moulins » ! Chaque semaine un nouveau thème (actualité, enseignement, événements, etc)
Un reportage biblique sur une question de foi, utilisable par des catéchistes ou des parents pour lancer une réflexion avec des enfants.
Pourquoi des conférences de Carême à l’ère de l’intelligence artificielle ?
Pourquoi des conférences de Carême à l’ère de l’intelligence artificielle ? – Conférences de Carême à Notre-Dame de Paris par Fabrice Hadjadj : Culture et évangélisation – la culture, un défi pour l’évangélisation. Conférence de Carême du 18/02/2018.
Se priver pendant le Carême, ça sert à quoi ?
Pendant le Carême, l’Église demande à ses fidèles de s’appuyer sur les trois piliers : prière, jeûne et partage. Mais à une époque où les tentations sont nombreuses, le bol de riz est-il toujours au top 50 du jeûne des chrétiens ? Quel sens a-t-il aujourd’hui dans nos vies et en quoi peut-il nous aider à nous rapprocher de Dieu ? Réponse dans cette émission. Emission du 05/03/2011
Le Carême peut être l’occasion de découvrir ou de redécouvrir le jeûne. Souvent considéré comme une pratique d’un autre âge, le jeûne retrouve une nouvelle jeunesse auprès de nombreux chrétiens. Cette année, il est d’ailleurs au coeur du message de Carême de Benoît XVI. Pourquoi et comment jeûner? Emission du 25/02/2009
Le carême : un chemin de liberté, de libération ! Père Jean-Louis BARTHELMÉ
Comment ne pas tomber dans le piège de la routine en vivant le Carême sans en comprendre le sens ? Père Jean-Louis Barthelmé. Retrouvez-le sur Missionweb Radio
« Le Carême est un voyage spirituel et sa destination est Pâques »
« Le Carême est un voyage spirituel et sa destination est Pâques » écrivait le Père Alexandre SCHMEMAN, un des plus éminents théologiens et liturgistes orthodoxes du XXème siècle. Pour parler de ce voyage vers Pâques, Carol SABA reçoit l´Archimandrite Syméon, higoumène du monastère Saint SILOUANE, à Saint MARS de LOCQUENAY. Il sera question de la structure liturgique et spirituelle d’ensemble du Grand Carême dans l’Eglise orthodoxe et des disciplines, aussi bien physiques (jeûne et abstinence alimentaire) que spirituelles (offices de prières) que l’Eglise offre aux fidèles pendant cette période pour réussir, comme des gladiateurs, avec foi et discipline, ce qui s´assimile, aussi, à un combat spirituel.
« Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe » – 1re partie
Orthodoxie.com en partenariat avec la Fraternité des médecins orthodoxes « Saint Luc de Crimée » et avec le soutien de la Mutuelle Saint-Christophe, a organisé le 4 mars 2017, une table ronde : « Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe ». Dans la première partie Mme Beatrice Caseau, professeur à l’Université Paris-Sorbonne IV nous a parlé de la culture alimentaire dans la tradition byzantine.
« Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe » – deuxième partie
Le 4 mars 2017, Orthodoxie.com en partenariat avec la Fraternité des médecins orthodoxes « Saint Luc de Crimée » et avec le soutien de la Mutuelle Saint-Christophe, a organisé une table ronde : « Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe ». Nous vous invitons à regarder la deuxième partie avec le père Gérasime, higoumène du skite orthodoxe Sainte-Foy qui a parlé du carême comme chemin au fil des jours.
« Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe » – troisième partie
Le 4 mars 2017, Orthodoxie.com en partenariat avec la Fraternité des médecins orthodoxes « Saint Luc de Crimée » et avec le soutien de la Mutuelle Saint-Christophe, a organisé une table ronde : « Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe ». Nous vous invitons à regarder la troisième partie avec Dr Claudia Tanase, anesthésiste-réanimateur qui a parlé des bénéfices et des dangers du carême pour la santé.
« Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe » – quatrième partie
Le 4 mars 2017, Orthodoxie.com en partenariat avec la Fraternité des médecins orthodoxes « Saint Luc de Crimée » et avec le soutien de la Mutuelle Saint-Christophe, a organisé une table ronde : « Alimentation et jeûne dans l’Église orthodoxe ».Dr Mihaela Nica, endocrinologue-diabétologue parle « Des principes d’une alimentation saine durant le carême ».
Zélie c’est un magazine (document numérique) de 22 pages dont vous recevrez gratuitement le lien dans votre boîte aux lettres électronique, la veille du premier jour de chaque mois. Vous pourrez le lire sur votre écran de smartphone, de tablette ou d’ordinateur aussi bien qu’en version papier après l’avoir imprimé – c’est un format A4.
Titre de presse indépendant, Zélie compte actuellement plus de 12 000 abonnés.
Zélie c’est d’abord l’histoire d’une journaliste lassée d’une presse féminine réduisant la femme àune consommatrice. En 2015, elle décide donc avec quelques personnes de créer un magazine numérique féminin et chrétien.
Mode, littérature, actualité, éducation ou histoire sont vusselon un angle chrétien et enrichissant toutes les dimensions de la personne féminine : physique, intellectuelle, affective et spirituelle.
Zélie c’est enfin le prénom de la mère de sainte Thérèse de Lisieux, Zélie Martin, qui a été canonisée le 18 octobre 2015 ainsi que son époux Louis, quelques semaines après le lancement de Zélie. Modèle d’une fille de Dieu, femme, épouse et mère, sans oublier son activité d’entrepreneur.
Je pense qu’il serai une bonne idée d’enseigner les différentes religions à l’école, au collège et au lycée.
Dans les années ’90 et début des années 2000, et je me souviens qu’à l’école ont nous n’apprenez pas ce qu’étaient les différentes religions.
je me souviens étant enfant, vers 8 – 10 ans, j’avais assiter à une messe de noël, c’était la première fois que je rentrée dans une église, il y avait tellement de monde, tout ce que je voulais c’était sortir…je me souviens que c’était ennuyeux… je ne comprenais pas ce qui ce passer ni où j’étais…. personne me l’avais expliquer…
Lorsqu’une fois j’étais rentrée dans une église pour une réparation (j’étais adolescent), je me sentais tellement mal à l’aise que je voulais sortir de l’église, car je ne connaissais pas cet univers, voire autant de statues, un homme sur une croix…
J’avais vraiment eu peur, tout ce que je voulais était de sortir le plus vite posssible….aujourd’hui, maintenant que je connaît beaucoup mieux cette religion, j’aime visiter les églises et je m’y sens bien.
Et je pense que c’est le cas pour beaucoup de personnes aujourd’hui, jeune ou moins jeune, quand on ne connaît pas une religion, on en a peur..
Et quand on ne connaît pas, après la peur viens ensuite les moqueries, les dégrations, le vandalisme…
Aujourd’hui je connaît beaucoup mieux le christianisme, le Judaïsme, et l’Islam (que j’ai appris tout seul), et quand on connaît ces religions, on accepte mieux et on comprend mieux les différences des personnes pratiquant ces religions.
La laïcité à l’école c’est bien, mais de ne pas parler de religions, cela est dangereux pour leur avenir et l’avenir de la France.
Un example, il y a quelques semaines j’étais devant une église d’une ville moyenne, et j’ai vu des jeunes adolescent y rentrer, ils rigolaient et puis ils sont sortient en criant et rigolant (ils avaient peur car il ne connaisaient pas cet univers), ce genre de réaction (devant moi) m’a vraiment surpris… heureusement qu’il y avait la sacristine à l’intérieur qui les ont empêcher de faire des bétises comme ils voulaient le faire d’après ce que j’ai entendu.
Et je pense que ce genre de situation doit souvent se dérouler en France.
Souvent les parents ne connaissent pas non plus les religions et peuvent influencer négativement leur enfants, qui a leur tour auront des influences négative à l’école et en société.
Et pourtant Dieu existe vraiment…. presque tout le monde l’a oublier ou s’en moquent….
Dieu laissent les hommes libres, mais ils offensent Dieu par leurs mauvaise actions, pollutions, destruction de l’environnement, les guerres, les mauvais comportement, les hommes n’ont pas appris les bonnes valeurs, ils sont tellement perdues, qu’ils ne voient pas et ne comprennent pas qu’ils se comportent mal….
Et puis par le passée, à causes des guerres de religions et de pouvoirs, les chrétiens, juifs et musulmans ont données une mauvaise image des religions… alors les hommes déçuent, préfèrent vivre sans religion.
J’espère que ces programmes d’éducation sur les religions à l’école vont être mise en place le plus rapidement possible.
Une jeune collégienne étudie les religions dans son manuel scolaire d’Histoire Géographie niveau 6e et 5e sur son bureau *** Local Caption *** Comment enseigner les faits religieux à lécole ?
Le ministère de lÉducation nationale a adressé aux établissements un livret pratique pour gérer les atteintes à la laïcité, en juin. Lenseignement des faits religieux y est discrètement réaffirmé.
LÉglise au Moyen Âge ou la naissance des monothéismes sont au programme des classes de 6e et 5e au collège.
Pour développer à l’école la laïcité et le respect mutuel, parions que le progrès des connaissances est le meilleur rempart contre les peurs et les préjugés. Enseigner les faits religieux n’est pas une entorse à la laïcité mais la pleine application de son principe. Il faudrait compléter une approche historique pour ouvrir au monde contemporain et présenter les systèmes de représentation du monde en situant également la place de l’athéisme et de l’agnosticisme.
L’enseignement laïque des faits religieux est inscrit dans le socle commun de connaissances de compétences et de culture. Il décrit et analyse les faits religieux comme éléments de compréhension de notre patrimoine culturel et du monde contemporain, à travers les disciplines comme l’histoire, les lettres, l’histoire des arts, l’éducation musicale, les arts plastiques ou la philosophie.
« Peut-on parler des religions à l’école ? » Alors que 900 cas d’atteinte au principe de laïcité ont été signalés entre avril et juillet en milieu scolaire, Isabelle Saint-Martin, spécialiste du sujet, tente de répondre à cette question sensible dans un livre qui vient de paraître. « Ce serait plus que nécessaire », plaide-t-elle.
Depuis l’institution de l’école républicaine, le fait religieux divise les Français. Elément de civilisation et lien qui structure l’humanité, il ne peut prétendre toutefois à s’ériger en discipline indépendante. Le rapport présente l’état des lieux de l’enseignement du fait religieux en France et tente de réexaminer la place à attribuer à cet enseignement. Le rapport énonce d’abord les attentes : il s’agit, au nom de la sauvegarde des humanités, de rendre possible la transmission des cultures religieuses.
Puis il aborde la question des résistances face à ce qui peut être perçu comme une intrusion du religieux dans la sphère la laïque de l’éducation. L’auteur souligne ensuite les contraintes de l’enseignement du fait religieux dont l’efficacité peut être compromise par son irrégularité et par une approche trop banalisée. Le rapport tente de définir par la suite la notion de laïcité républicaine comme liberté de conscience et de culte mais surtout comme liberté d’intelligence, et voit dans l’enseignement du fait religieux une visée démocratique qui se doit d’être davantage équilibrée et distanciée, sans verser dans un scientisme naïf. Enfin, le rapport présente douze propositions.
Le ministère de l’Éducation nationale a adressé aux établissements scolaires un livret pratique pour gérer les atteintes à la laïcité. L’enseignement des faits religieux y est discrètement réaffirmé. Pour Xavier Dufour, docteur en philosophie et professeur agrégé de mathématiques, « l’enseignement des religions à l’école est une urgence ».
Comment l’Éducation nationale peut-elle répondre aux dérives fondamentalistes qui la menacent ? La référence incantatoire aux grands principes d’hier résonne désormais dans le vide. Ne faut-il pas revenir à la vocation première de l’école en abordant la question religieuse comme un objet de connaissance à part entière ? Autant de questions que Xavier Dufour traite dans son livre « Dieu à l’école » (Cerf), en s’appuyant sur sa propre expérience.
Dans l’état actuel de nos réflexions, il semble qu’un certain consensus soit apparu au sein de notre atelier pour avancer les arguments suivants en faveur de cet enseignement :
Le souci de connaissance des faits religieux nous apparaît comme une priorité politique : les adolescents (et les enseignants…) ont besoin, pour s’y retrouver sur le plan politique, d’avoir une meilleure connaissance et compréhension des phénomènes religieux.
Il ne peut y avoir de choix sans règles de choix et connaissance. Il paraît important dans cette optique d’enseigner les religions — et non une religion — et d’en faire un objet de savoir et non de catéchèse, même si la réduction d’une religion à un savoir pose problème comme nous le verrons par la suite.
La connaissance des religions différentes devrait être une source de tolérance (et d’acceptation des différences).
On assiste, avec la déchristianisation, à une perte du patrimoine culturel français. La connaissance de ce patrimoine fait partie du « bien commun » à transmettre.
État des lieux d’un enseignement laïque aux enjeux multiples
Isabelle Bourdier-Porhel
Membre de Redisco, M2 recherche sciences de l’éducation
Université Lyon 2
Dans le cadre de l’enquête exploratoire de la recherche « Religions, discriminations et racisme en milieu scolaire : entre prescrit et réel, quels ajustements dans le travail, selon quels principes de justice ? », menée par le laboratoire Éducation, Cultures, Politiques (Lyon 2), en partenariat avec l’I.F.E.-E.N.S., il s’agit de présenter un état des lieux provisoire de la place des religions dans l’enseignement de l’histoire au collège. Nous procèderons à une comparaison des curricula prescrits (programmes et socles), sur la période 2008-2015, dans le contexte de nouvelles orientations ministérielles, qui s’inscrivent dans la réforme du collège.
Un projet pour l’éducation scolaire au Liban se heurte à plusieurs visions d’une société issue d’une coalition de dix-neuf communautés. Dans cet article, nous décrirons l’intervention des communautés religieuses dans la communauté scolaire au Liban. Une étude comparative et des analyses de quelques données recueillies montrent que les écoles religieuses chrétiennes et musulmanes au Liban transmettent des valeurs collectives souvent peu communes et des valeurs individuelles parfois très conflictuelles.
2013 est l’année du 1700ème anniversaires de l’Edit de Milan, par l’empereur Constantin, qui mit fin aux persécutions des chrétiens sous l’Empire Romain.
313 marque un grand retournement de l’histoire. Auparavant, le christianisme était une religion pourchassée. Un proche prédécesseur de Constantin, Dioclétien, a été l’auteur d’une des pires persécutions de l’Empire, encore plus meurtrière que celle de Néron. Un très grand nombre de martyrs que l’Eglise fête ont été suppliciés sous son règne.
5ème – Si on révisait : Le christianisme dans l’empire romain
Constantin, et le christianisme – « Pontifex maximus »
Constantin est le premier empereur romain à s’être réclamé du christianisme. En adoptant cette religion auparavant persécutée, il a profondément influencé l’histoire du monde. En effet, il a favorisé la formation de la chrétienté, qui est devenue « l’instrument social et politique le plus puissant » ayant jamais influencé le cours de l’Histoire, observe l’Encyclopædia Britannica.
« Constantin implora la protection de ce Dieu, le pria de se faire connaître à lui, et de l’assister dans l’état où se trouvaient ses affaires. Pendant qu’il faisait cette prière, il eut une merveilleuse vision, et qui paraîtrait peut-être incroyable, si elle était rapportée par un autre.
Mais personne ne doit faire difficulté de la croire, puisque ce Prince me l’a racontée lui-même longtemps depuis, lorsque j’ai eu l’honneur d’entrer dans ses bonnes grâces, et que l’événement en a confirmé la vérité. Il assurait qu’il avait vu en plein midi une croix lumineuse avec cette inscription : »PAR CE SIGNE TU VAINCRAS », et qu’il fut extrêmement étonné de ce spectacle, de même que ses soldats qui le suivaient. »
Voici ce qu’écrit Eusebe de Césarée vers 340 sur l’empereur Constantin. La Foi prise au mot vous propose de découvrir qui était vraiment ce premier empereur romain converti au christianisme, avec un des plus grands spécialistes de cette figure, Pierre Maraval, historien du christianisme et professeur émérite à la Sorbonne. La Foi prise au Mot du 21/10/2012.
« Na początku Bóg stworzył Niebo i Ziemię… » Szóstego dnia Bóg stworzył człowieka na swój obraz i podobieństwo – Adama, jako pierwszego mężczyznę, i Ewę – pierwszą kobietę. Żyli bezpieczni i szczęśliwi w Edenie, boskim ogrodzie. Jednak skuszona przez węża Ewa spróbowała owocu z drzewa poznania dobra i zła. Opowieści biblijne Starego Testamentu to animowane historie o czasach przed narodzeniem Chrystusa. Oprawione piękną muzyką, ciepłym głosem lektora przyciągną przed szklany ekran całą rodzinę. Filmy te, to najlepsza droga, by w prosty i przyjazny sposób zaciekawić najmłodszych i wzbudzić chęć poznania Starego Testamentu. Teksty zostały przetłumaczone w oparciu o Biblię Tysiąclecia.
Όμορφο παραμύθι για παιδιά. « In the beginning God created the heavens and the earth.. » Day after day. And on the sixth day he said: « Let us make man in our image after our likeness. » « Male and female he created them. » Adam is to be the first of men, and Eve, the first of women. It is then in the Garden of Eden that the serpent, most cunning of all creatures, comes looking for them…
ADAM AND EVE Old Testament | Bible for kids | « In the beginning God created the heavens and the earth.. » Day after day. And on the sixth day he said: « Let us make man in our image after our likeness. » « Male and female he created them. » Adam is to be the first of men, and Eve, the first of women. It is then in the Garden of Eden that the serpent, most cunning of all creatures, comes looking for them…
The Old Testament is a 2003-2004 Italian animated religious series that was based on the life of the Old Testament and stories from the Bible. It consists 39 episodes in a season ans was distributed by Mondo TV. This is the subject of the most widely-read book in the world from which, in thirty-nine episodes, we evoke the characters and events so that people from many generations including Christians and Mormons can appreciate the richness of this great treasure. “In the beginning” , the Bible tells us, God created the heaven and the earth: light, the firmament, the stars, the waters with the sea abundant with fish of every type and on the earth with trees and marvelous fruits until on the sixth day, God said, « Let us make man in our image and likeness and male and female he created ».
L’Ancien Testament (en koinè (grec) : ἡ Παλαιὰ Διαθήκη // hê Palaià Diathếkê), aussi appelé Ancienne Alliance, Écrits vétérotestamentaires,Premier Testament ou Bible hébraïque, désigne l’ensemble des écrits de la Bible antérieurs à Jésus-Christ. L’Ancien Testament est donc la Bible juive, le Tanakh. Pour les chrétiens, il forme la première partie de la Bible1, la deuxième partie, appelée Nouveau Testament, étant constituée de l’ensemble des livres relatifs à la vie de Jésus-Christ (Évangiles, Actes des Apôtres, Épîtres de Paul et épîtres universelles, Apocalypse)2,3.
Étymologie
Le mot testament vient du latintestamentum (« testament ; témoignage »), lui-même traduit du grec διαθήκη / diathếkê (« testament, contrat, convention »). Dans un sens religieux, testament signifie « alliance »3.
Ancien Testament | La Bible pour les enfants ~Playlist~
Découverte de la religion chrétienne 