La Bible en Audio – Le Nouveau Testament ~ Épîtres de Paul ~

La Bible en Audio – Le Nouveau Testament ~ Épîtres de Paul ~


La suite de l’article : La Bible en Audio – Le Nouveau Testament ~ Actes des Apôtres ~


Épîtres de Paul

Les épîtres de Paul ou épîtres pauliniennes sont un ensemble de treize lettres attribuées à l’apôtre Paul de Tarse et adressées à différentes communautés chrétiennes du Ier siècle. Une quatorzième lettre, l’épître aux Hébreux, œuvre d’un auteur anonyme, leur est parfois ajoutée. Elles ont rapidement été intégrées au canon des Écritures. Dès la fin du Ier siècle, la plupart des communautés chrétiennes utilisaient ces textes dans leur liturgie.


Introduction aux épîtres de Paul Bible Annotée


Épître aux Romains

L’Épître aux Romains est une lettre du Nouveau Testament envoyée par l’apôtre Paul à l’Église de Rome.

Elle est la plus longue des épîtres de Paul et la plus explicite sur son enseignement. Les idées qu’elle développe forment en effet le fondement de la doctrine des Églises chrétiennes au sujet de la justification par la foi. Les interprétations de cette épître sont à l’origine de diverses évolutions du monde chrétien et plus particulièrement de la Réforme protestante.

Le contenu se situe dans deux registres. D’une part, il s’agit d’une lettre adressée à une communauté rencontrant des difficultés ; d’autre part, l’auteur expose sa vision du salut et de la foi.

Contexte de la rédaction

Carte du troisième voyage missionnaire (vers 54-58)

L’épître aurait été écrite, durant le troisième voyage missionnaire, à Corinthe où Paul passe l’hiver 57-58 (Ac 20,2-3). Il y annonce qu’il va bientôt se rendre à Jérusalem pour y porter des aumônes (Rm 15,25-28). Cette épitre aurait été transcrite par Tertius, alors scribe de Paul1.

Rome est une Église naissante qui ne fut pas fondée par Paul, mais à laquelle Paul envisage de rendre visite. À Rome, se côtoient des judéo-chrétiens et des pagano-chrétiens (appelés souvent Grecs). Les deux communautés initialement séparées doivent apprendre à cohabiter et coopérer. Les juifs à Rome formaient une communauté mal acceptée. Quelques années auparavant, ils en avaient d’ailleurs été exclus par décret. Paul profite de cette épître pour souligner l’importance de l’Ancien Testament et sa continuité avec le nouveau et redonne ainsi une place privilégiée au peuple d’Israël dans l’histoire du salut. Paul exhorte donc les deux communautés à s’entendre. C’est la deuxième partie de la lettre.



Introduction à l’Épître aux Romains Bible Annotée


Introduction à l’épître aux Romains – La Bible Louis Segond


Romains 1 Une justice obtenue par la foi… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/romains.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Première épître aux Corinthiens

La Première épître aux Corinthiens est un livre du Nouveau Testament.

Elle est envoyée par l’apôtre Paul à l’Église de Corinthe. Elle est suivie par la Deuxième épître aux Corinthiens.

Historique

Selon les Actes des Apôtres, ch. 18, v. 1-17, l’apôtre Paul est le fondateur de l’église de Corinthe. Lors de son deuxième voyage missionnaire, il passe dix-huit mois au sein de cette communauté.

Il arrive d’Athènes où il a eu l’occasion de débattre avec les philosophes grecs à l’Aréopage (Actes des Apôtres, ch. 16, v. 17-34). Sur place, il rencontre un Juif du nom d’Aquila et sa femme Priscille. Paul s’établit chez eux. Ils travaillent ensemble car Priscille et Aquila sont également fabricants de tentes. Chaque sabbat il se rend à la synagogue où il fait part aux Juifs et aux Grecs de sa rencontre personnelle avec Jésus-Christ qui est le Messie.

Une bonne partie des Juifs ne supportent pas cette vision des choses et le font savoir durement à l’apôtre, tandis que plusieurs personnes, et parmi elles quelques Juifs, croient à ce message de la Bonne Nouvelle et se font baptiser. C’est le début de l’église de Corinthe.



Deuxième épître aux Corinthiens

La Deuxième épître aux Corinthiens, généralement abrégée en 2 Corinthiens ou 2 Cor., est un livre du Nouveau Testament. Elle est envoyée par l’apôtre Paul à l’Église de Corinthe. Elle comprend treize chapitres.


Bible Annotée

Introduction à la première épître aux Corinthiens

Introduction à la deuxième épître de Paul aux Corinthiens


Introduction Bible Louis Segond 1910

Première épître aux Corinthiens

Seconde épître aux Corinthiens


1 Corinthiens 1 Discordes et désordres dans l’Église… Louis Segond 1910

2 Corinthiens 1 Paul et les Corinthiens Salutation et… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/1-corinthiens.html

https://emcitv.com/bible/audio/2-corinthiens.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître aux Galates

L’épître aux Galates (un des livres du Nouveau Testament) est une lettre envoyée par l’apôtre Paul aux églises de Galatie. La date de rédaction est estimée entre 47 et 52 de notre ère, mais la plupart des historiens s’accordent sur une datation autour de 50/511, soit entre quinze et vingt ans après la crucifixion de Jésus. Il se qualifie comme « apôtre, non de la part des hommes ni par l’intermédiaire d’un homme, mais par Jésus-Christ et Dieu le Père qui l’a ressuscité des morts ».


Introduction de l’épître de Paul aux Galates Bible Annotée


Introduction à l’épître aux Galates Louis Segond 1910


Galates 1 Salutation et reproche… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/galates.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître aux Éphésiens

L’Épître aux Éphésiens est un livre du Nouveau Testament. Le texte est constitué d’une lettre attribuée à l’apôtre Paul et adressée à l’Église d’Éphèse (située dans l’actuelle Turquie).


Introduction à l’épître de Paul aux éphésiens Bible Annotée


Introduction à l’épître aux Éphésiens Louis Segond 1910


Ephésiens 1 Adresse et salutation… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/ephesiens.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître aux Philippiens

L’Épître aux Philippiens est un livre du Nouveau Testament. Les textes qui en sont tirés portent la mention Ph.

Elle est envoyée probablement vers 61 après Jésus-Christ par l’apôtre Paul à l’Église de Philippes. Il l’écrivit pendant son premier emprisonnement à Rome.

Cette épître invite entre autres les chrétiens à vivre leur foi dans la joie comme en témoigne le verset : « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ! Je le répète : réjouissez-vous ! » (Ph 4:4). Elle fait partie des sept épîtres pauliniennes jugées authentiques par les spécialistes.


Introduction à l’épître de Paul aux Philippiens Bible Annotée


Introduction à l’épître aux Philippiens Louis Segond 1910


Philippiens 1 Salutation et louange… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/philippiens.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître aux Colossiens

L’Épître aux Colossiens est une épître Paulinienne et un livre du Nouveau Testament. Selon la tradition chrétienne, cette lettre fut envoyée par l’apôtre Paul à l’Église de Colosses. La ville de Colosses a été détruite par un tremblement de terre au début de l’an 60.

En revanche, si elle a été rédigée par des disciples de Paul, comme l’estiment la plupart des spécialistes, elle date de la fin du Ier siècle.


Introduction à l’épître de Paul aux Colossiens Bible Annotée


Introduction à l’Épître aux Colossiens Louis Segond 1910


Colossiens 1 Salutation et louange… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/colossiens.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Première épître aux Thessaloniciens

L’épître est envoyée par l’apôtre Paul, depuis la ville de Corinthe, à l’Église de Thessalonique, au cours de sa première visite en Europe. Selon toute vraisemblance, elle a été écrite en 5051. De ce fait, il s’agit du plus ancien écrit du Nouveau Testament.

Son œuvre en Thessalonique est décrite dans Actes 17. Il voulait y retourner mais ne put le faire (1 Th 2:18). Il envoya donc Timothée réconforter les convertis et leur dire comment il allait. Il écrivit la première épître pour exprimer sa gratitude lors du retour de Timothée.


Deuxième épître aux Thessaloniciens

La deuxième épître aux Thessaloniciens est un livre du Nouveau Testament attribué à Paul de Tarse mais dont l’auteur et la destination sont débattus. Il revêt une dimension eschatologique répondant au débat sur la parousie du Christ, le « jour du Seigneur », qui semble agiter certaines communautés chrétiennes dans la seconde moitié du Ier siècle.


Bible Annotée

Introduction à la première épître de Paul aux Thessaloniciens

Introduction à la deuxième épître de Paul aux Thessaloniciens


Introduction Bible Louis Segond 1910

Première épître aux Thessaloniciens

Seconde épître aux Thessaloniciens


1 Thessaloniciens 1 Salutation et louange… Louis Segond 1910

2 Thessaloniciens 1 Salutation et louange… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/1-thessaloniciens.html

https://emcitv.com/bible/audio/2-thessaloniciens.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître pastorale

Une épître pastorale, ou trito-paulinienne, est l’un des trois livres du Nouveau Testament : la première épître à Timothée, la deuxième épître à Timothée ou l’épître à Tite.

Ces trois épîtres sont présentées comme des lettres de Paul de Tarse aux disciples Timothée et Tite, mais cette attribution n’est plus guère retenue par la critique contemporaine. Les historiens modernes estiment qu’elles sont l’œuvre de successeurs de Paul.

On leur donne le titre de « pastorales » parce qu’elles s’adressent à des personnes individuelles qui exercent une activité de « pasteur », et non pas à une Église ou à un groupe de croyants comme la plupart des épîtres pauliniennes. Le qualificatif de « pastorale » est relativement récent : il date du milieu du XVIIIe siècle.


Introduction aux épîtres pastorales Bible Annotée


Première épître à Timothée

La première épître à Timothée est un livre du Nouveau Testament. Avec la deuxième épître à Timothée et l’épître à Tite, elle fait partie des trois « épîtres pastorales  » ou « trito-pauliniennes », dues à des disciples tardifs de l’apôtre Paul.

Paul avait laissé Timothée à Éphèse, dans l’intention d’y retourner plus tard (1 Ti 3:14). Mais il pensait qu’il risquait d’être retardé. La lettre est adressée au disciple Timothée, peut-être de Macédoine (1 Ti 1:3), pour lui donner des conseils et des encouragements sur l’accomplissement de son ministère.


Deuxième épître à Timothée

La deuxième épître à Timothée est un livre du Nouveau Testament, longtemps attribuée à l’apôtre Paul. Elle est adressée à son disciple Timothée.

C’est l’une des trois épîtres pastorales avec la première épître à Timothée et l’épître à Tite.


Bible Annotée

Introduction à la première épître de Paul à Timothée

Introduction à la deuxième épître de Paul à Timothée


Introduction Bible Louis Segond 1910

Première épître à Timothée

Seconde épître à Timothée


1 Timothée 1 Salutation et instructions de Paul… Louis Segond 1910

2 Timothée 1 Salutation et louange… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/1-timothee.html

https://emcitv.com/bible/audio/2-timothee.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître à Tite

L’épître à Tite est un livre du Nouveau Testament attribué à l’apôtre Paul. Elle fait partie des trois épîtres pastorales.


Introduction à l’épître de Paul à Tite Bible Annotée


Introduction à l’épître à Tite Louis Segond 1910


Tite 1 Adresse et salutation… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/tite.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php


Épître à Philémon

L’Épître à Philémon est un livre canonique du Nouveau Testament dont l’auteur est l’apôtre Paul de Tarse (« Saint Paul »). C’est une brève lettre personnelle de Paul adressée à Philémon, un chrétien de Colosse et l’un de ses disciples.

Le document

L’apôtre Paul écrit cette lettre ‘de sa propre main’ (Phm. v19) pendant son premier emprisonnement à Rome. Elle est envoyée à son disciplePhilémon, chrétien de Colosse. Très brève elle n’est pas divisée en chapitres et est considérée comme la plus personnelle de Paul. Bien que ‘personnelle’, la lettre n’en est pas strictement privée pour autant car Paul y salue la communauté chrétienne : « l’église qui s’assemble dans ta maison » (Phm. v2)


Introduction à l’épître de Paul à Philémon Bible Annotée


Introduction à l’épître à Philémon Louis Segond 1910


Philémon 1 Salutation et louange… Louis Segond 1910

https://emcitv.com/bible/audio/philemon.html

https://www.bible.audio/bible-audio2.php



Saint Paul le voyageur en BD – Bayard Editions


Saint Paul le voyageur de Dieu – Une BD de Benoît Marchon et Dominique Cordonnier chez Astrapi / Centurion (Astrapi) – 1990

L’odyssée de Saint Paul. | À La Bonne Source

📜 Fête de sainte Rafqa (Religieuse de l’Ordre Libanais Maronite, 1ère sainte libanaise † 1914) 🇱🇧 et saint Alphonse Turibe de Mogrovejo (Évêque, Saint Patron du Pérou † 1606) 🇵🇪 📜 Fête le 23 mars

📜 Fête de sainte Rafqa (Religieuse de l’Ordre Libanais Maronite, 1ère sainte libanaise † 1914) 🇱🇧 et saint Alphonse Turibe de Mogrovejo (Évêque, Saint Patron du Pérou † 1606) 🇵🇪 📜 Fête le 23 mars

Les saints du jour

Rafqa Pietra Choboq Ar-Rayès

Rafqa Choboq Ar-Rayès (18321914), plus connue comme sainte Rafqa – ou sainte Rébecca d’Himlaya, est une religieuse maronite du Liban, canonisée en 2001. C’est la première sainte libanaise.


Rafqa Al-Rayès est née à Himlaya au Liban. Orpheline, maltraitée par une belle-mère acariâtre, elle attendit d’avoir atteint ses vingt et un ans pour entrer dans la vie religieuse et devenir enseignante dans un institut que venait de fonder le P. Gemayel.. En 1860, elle vécut le massacre des chrétiens dans la montagne. Quand le jeune institut fut dissous, elle choisit d’entrer dans l’Ordre Baladite, religieuses maronites libanaises. Elle mourut aveugle et percluse, ayant offert à Dieu le sacrifice de sa vie devant tant de sacrifices dans son peuple.
« un modèle à suivre dans la dévotion au Saint Sacrement »

« Rafqa Ar-Rayes était libanaise et aimait sa patrie, le Liban. Elle était maronite et aimait son Église maronite. Elle était fille de l’Ordre Libanais maronite et aimait son Ordre. »

Biographie (site du Vatican)
« Puisse sainte Rafqa veiller sur ceux qui connaissent la souffrance, en particulier sur les peuples du Moyen-Orient affrontés à la spirale destructrice et stérile de la violence! »
Homélie du pape Jean-Paul II pour la canonisation de 5 bienheureux.
Homélie de sa béatitude le cardinal Mar Moussa 1er Daoud, préfet de la congrégation pour les Églises orientales, le 11 juin 2001.
Béatification le 17 novembre 1985, canonisation le 10 juin 2001.
Voir aussi:
Visite pastorale au Liban, Regina Coeli, Dimanche 11 Mai 1997
Rafqa (Rebecca) ar Rayez (1832-1914) Liban religieuse maronite béatifiée en 1985
Photo
« La Biographie de la moniale Rafqa de Himlaya n’est que l’histoire d’une souffrance vécue avec amour, avec générosité et avec joie! Loin d’être une stoïcienne, elle a porté au monde un message, et elle a donné au commun des mortels une leçon des plus belles! »
(source:
La Fille du Liban – Opus Libani)
Près de Ad-Dahr au Liban, en 1914, sainte Rébecca (Perrine ar-Rayyâs de Himlaya), vierge de l’Ordre libanais de Saint-Antoine des Maronites. Privée de la vue pendant trente ans, puis saisie d’une infirmité qui atteignit ses membres, elle demeura en prière, entièrement remise à Dieu seul.

Martyrologe romain

https://nominis.cef.fr/contenus/saint/10158/Sainte-Rafqa-Ar-Rayes.html


Extrait du film en musique

Film

En langue libanaise et sous titré en anglais

Composition: Jean Aoun

Solo: Sr. Ghada Khalife

Dir. Sr. Marana Saad

Choir of Saint Rafqa

Lebanon 2010


La terre qui guérit : biographie de sainte Rafqa, religieuse libanaise maronite, Patrizia Cattaneo, Livres, LaProcure.com

La terre qui guérit – Biographie de sainte Rafqa, religieuse libanaise maronite – Rassemblement à son image


Alphonse Turibe de Mogrovejo

Turibio de Mogrovejo ou Turibe ou Thuribe ou Toribio (15381606) est un archevêque de Lima et un saint de l’Église catholique, célébré le 23 mars.

Il a été un grand défenseur des populations autochtones du Pérou.

Turibio de Mongrovejo fut un grand bienfaiteur des indiens du Pérou, qui avaient fort à souffrir de la cupidité des Espagnols qui avaient conquis leur pays.
Originaire de Mayorga en Espagne, il fut nommé, par le roi Philippe II, archevêque de Lima, un diocèse grand comme la moitié de la France. Il visita trois fois ses fidèles chrétiens d’origine indienne. Cela durait chaque fois sept ans.

Il lutta contre les autorités royales, ouvrit un séminaire, fit prendre conscience aux chercheurs d’or qu’ils ne devaient pas les traiter comme des esclaves. Doux, patient, habile, d’un courage indomptable, il transforma l’état des choses au Pérou, rendant à tous leur dignité d’hommes.
– Illustration: Imágenes de la Celebración en Zaña, Chiclayo (23 de marzo de 2006) – célébration des 400 ans de la mort de Saint Alphonse Turibe de Mogrovejo (conférence épiscopale du Pérou)
Lire aussi: Une vie donnée pour le Christ.
Mémoire de saint Turibio de Mogrovejo, évêque de Lima. Homme de loi, né en Espagne, il était encore laïc quand il fut nommé à ce siège au Pérou. Il gagna l’Amérique et, brûlant de zèle, il visita plusieurs fois son immense diocèse, souvent à pied, avec une vigilance assidue pour le troupeau qui lui était confié. Il extirpa dans des synodes les abus et les scandales dans le clergé, défendit fermement l’Église, convertit et catéchisa les peuples indigènes et mourut à Saña en 1606, au cours d’une visite pastorale.

https://nominis.cef.fr/contenus/saint/849/Saint-Alphonse-Turibe-de-Mogrovejo.html


🎵 📘 C’est toujours possible – Livre audio – Timothée Paton 📘 🎵

C’est toujours possible – 1/5 – Livre audio


« Un ami me disait récemment à la sortie d’une église : « Timothée, j’ai raté 20 ans de ma vie ! » « C’est Toujours Possible ! » a été écrit pour nous encourager à entrer sur le terrain, à courir dans notre destinée. Nous ne sommes pas appelés à passer notre existence sur le banc, dans les gradins ou dans les vestiaires. Découvrez dans cet ouvrage cinq chapitres relatant les histoires d’hommes, de femmes et d’enfants que je connu au Cambodge mais ailleurs dans le monde qui ont saisi à pleines mains la seule vie que Dieu leur ait donnée.

Ils nous invitent à ne pas laisser notre passé, nos handicaps, nos peurs et nos échecs déterminer notre avenir. Je consacre aussi plusieurs pages à témoigner de mon combat de 31 ans contre les Troubles Obsessionnels Compulsifs. De Bogota à Genève, de Johannesburg à Montréal, j’ai vu de nombreux jeunes et moins jeunes quitter leur banc.

Et comme les premiers disciples du Christ, ils se sont engagés pour changer le monde. Comme pour mon premier livre « Quittez la Plage ! » celui-ci reprend des prédications données lors de différentes rencontres ces dernières années à différents endroits du monde. » Timothée Paton

Voici l’intégralité du livre « C’est toujours possible ! Ne laissez pas votre passé, vos peurs et vos échecs déterminer votre destinée » en version audio.

Les 5 parties peuvent se télécharger individuellement au format MP3 depuis notre site, directement sous la fiche de Timothée Paton ici : http://www.tresorsonore.com/fiche-556…

Si la version audio vous est offerte, nous vous invitons vivement à vous procurer la version écrite du livre auprès des éditions Première Partie: https://premierepartie.com/boutique/e…​ _-_-_-_-_-_-_-_-_

👉 D’autres ressources chrétiennes 100% gratuites sont à découvrir ici: http://www.tresorsgratuits.fr​ 🎁

Vous avez aimé cet enregistrement et son écoute vous a béni ? Vous pouvez nous aider à continuer ces diffusions gratuites par un don (déductible des impôts si vous habitez en France) : https://www.helloasso.com/association…


Né en France, en Auvergne, d’un père écossais et d’une mère anglaise, Timothée Paton consacre sa vie à Dieu à l’âge de 4 ans et prêche pour la première fois à 12 ans. En 1999, sa passion pour la mission le conduit au Cambodge, à Phnom Penh, pour déployer avec une solide équipe de bénévoles des projets pour venir en aide aux enfants des rues et des bidonvilles.

En parallèle de ses activités de terrain, il parcourt le monde pour prêcher dans les universités, rassemblements de jeunes, écoles bibliques, églises. Timothée Paton cherche à susciter l’élan missionnaire partout où il passe. Après son premier livre Quittez la Plage !traduit en plusieurs langues, l’auteur nous encourage avec C’est Toujours Possible ! à abandonner nos peurs et nos échecs pour entrer de plain-pied dans la grande aventure de la foi.

Soyez inspiré par les nombreuses anecdotes de la vie d’hommes, de femmes et d’enfants qui ont, à leur façon, changé le monde. Ce livre est une véritable parole vivante qui ne manquera de vous mettre en action !

Amazon.fr – C´EST TOUJOURS POSSIBLE – Paton, Timothée – Livres

C’est toujours possible – broché – Timothée Paton – Achat Livre | fnac

C’est toujours possible ! – Éditions Première Partie

📜 Fête de saint Nicolas de Flue † 1487 – Saint Patron de la Suisse 🇨🇭 🌄 et de la Garde Suisse Pontificale au Vatican 🇻🇦 📜 Fête le 21 mars

📜 Fête de saint Nicolas de Flue † 1487 – Saint Patron de la Suisse 🇨🇭 🌄 et de la Garde Suisse Pontificale au Vatican 🇻🇦 📜 Fête le 21 mars

21 mars

Les saints du jour

Nicolas de Flue

Saint Nicolas de Flüe, en allemand : Niklaus von Flüe, né en 1417N 1 à Sachseln et mort le 21 mars 1487 dans cette même localité est un ascète suisse qui est le saint patron de la Suisse. Il est parfois invoqué comme « Frère Nicolas». Les principales caractéristiques attribuées à la pensée de Nicolas de Flüe – esprit de paix, non-intervention dans les affaires étrangères, modération – ont aujourd’hui encore des répercussions sur la manière dont certains Suisses perçoivent leur pays et envisagent sa politique.

Il est fêté le 25 septembre en Suisse et le 21 mars par l’Église catholique.

Un mystique politique

Une illustration de l’Amtliche Luzerner Chronik de 1513 de Diebold Schilling le Jeune, illustrant les événements de la Diète de Stans en 1481.

Après avoir reçu une vision mystique d’un lis mangé par un cheval5, qu’il reconnut comme indiquant que les soucis de sa vie mondaine (le cheval de trait tirant une charrue) avalaient sa vie spirituelle (le lys, symbole de pureté) il décide de se consacrer entièrement à la vie contemplative. En 1467, il quitte sa famille avec le consentement de sa femme, et s’installe comme ermite au Ranft en Suisse, tout en établissant une chapelle et un prêtre sur ses fonds propres, afin de pouvoir assister à la messe quotidienne. Selon la légende, il a survécu pendant dix-neuf ans, sans autre nourriture que l’eucharistie. La rumeur de son prodigieux jeûne se répercute jusqu’aux oreilles de l’État qui décide de vérifier si l’écho est bien juste, mais en vain car les autorités cèdent après un mois d’observation. Les témoignages se rapportant à son absence d’alimentation matérielle ou inédie, sont peu fiables et s’expriment en ces termes : « Dieu seul le sait »3.

« Mon Seigneur et mon Dieu Prends-moi à moi Et donne-moi tout entier à Toi
Mon Seigneur et mon Dieu Prends-moi tout Ce qui me sépare de Toi
Mon Seigneur et mon Dieu Donne moi tout Ce qui m’attire à toi3,6 »

— Un bref résumé des pensées de Nicolas par le biais d’une prière préservée dans un manuscrit de la fin XVe siècle3

Sa réputation de sagesse et de piété était telle que les grands de toute l’Europe sont venus chercher ses conseils. Il était alors connu de tous comme « Frère Nicolas ». En 1470, le pape Paul II accorde une indulgence au sanctuaire du Ranft et il devient un lieu de pèlerinage, car il était sur le chemin de Compostelle.

Nicolas intervient au cours de la diète de Stans en 1481 qui résulte des guerres de Bourgogne et où des conflits apparaissent, notamment concernant l’admission des cantons de Fribourg et de Soleure dans la Confédération, entrées redoutées par les cantons ruraux. Un des témoins du Convenant, Heini am Grund, va chercher auprès de Nicolas de Flue un message dont le contenu exact demeure inconnu mais qui établit les bases d’un compromis juridique qui règle la situation.

Des lettres de remerciement qui lui furent adressées par Berne et Soleure ont été conservées.

En dépit de son analphabétisme et de son peu d’expérience du monde, son art de la médiation et son sincère amour de la paix ont fait de lui un conciliateur entre cantons ruraux et citadins et un des principaux unificateurs de la Suisse.

Son culte prend un nouvel essor lors des deux conflits mondiaux qui, au XXe siècle, épargnent la Suisse. La ferveur populaire, qui ne se limite pas aux seuls catholiques, trouve un écho lors de la canonisation de l’ermite en 1947, quand bien même la gauche suisse reproche à Nicolas de Flue d’avoir favorisé la classe dominante.

Canonisation

Il a été béatifié en 1669. Après sa béatification, la commune de Sachseln construisit une église en son honneur où son corps a été enterré. Nicolas de Flue a été canonisé le 15 mai 1947 par le pape Pie XII. Il est Saint-patron mondial de la paix depuis cette date. Il est également, de même que Saint Martin et Saint Sébastien, le saint-patron de la Garde Suisse Pontificale au Vatican. Il est aussi le patron des familles nombreuses, des médiateurs et le protecteur des épouses qui vivent séparées de leur mari.

Il est fêté le 25 septembre en Suisse et le 21 mars selon le Martyrologe romain7,8.

Albergue parroquial San Nicolás de Flue, Ponferrada

Albergue parroquial San Nicolás de Flue, Ponferrada.

Le nouveau Catéchisme de l’Église catholique cite une brève prière personnelle de saint Nicolas de Flue9. Cette prière quotidienne de Saint Nicolas de Flue, Mein Herr und Mein Gott6,10, est encore activement utilisée aujourd’hui.

En sa mémoire, un musée a été fondé dans le village de la commune de Sachseln (OW)11, où se trouve également l’église de pèlerinage de ce saint.

Plusieurs églises de Suisse sont placées sous son patronat :

Sur le chemin de Compostelle, à Ponferrada, une auberge de pèlerins est placée sous son patronat13.


Saint Nicolas de Flüe † 1487 – Saint Patron de la Suisse 🇨🇭 🌄


Année jubilaire pour saint Nicolas de Flüe – Jura Pastoral600e anniversaire du saint patron de la Suisse


Saint Nicolas de Flüe, ermite chrétien du XVème siècle, est le saint patron de la Suisse. Là-bas, c’est une figure autant pour les catholiques que pour les protestants. Lors des rencontres européennes de Taizé, à Bâle, il est présenté à tous les jeunes comme un modèle d’unité.
Interview du 29/12/2017.


Découvrez en cette vidéo l’histoire de saint #NicolasdeFlüe​ .

► Saint Nicolas de Flüe → né en 1417 à Sachseln et mort le 21 mars 1487 dans cette même localité est un ascète suisse qui est le saint patron de la Suisse.

→ Il est invoqué comme #frèreNicolas​.

→ Le principal caractéristique attribué à la pensée de Nicolas de Flüe c’est ton esprit de paix.

→ Prière : “Seigneur Dieu, enlevez-moi tout ce qui m’éloigne de Vous. Seigneur Dieu, donnez-moi tout ce qui me rapproche de Vous. Prenez-moi à moi et donnez-moi tout à Vous. Amen! ”

La sainteté est pour toi aussi !


Le lancement du parcours « Marche-démarche », organisé par l’Association des Amis de Frère Nicolas, s’est déroulé à Fribourg, le 26 avril 2017. L’acteur fribourgeois Jean Winiger a animé de sa verve les 6 étapes qui ont permis de mieux connaître la vie et l’oeuvre de l’ermite.


Dans le cadre des 600 ans de la naissance de saint Nicolas de Flüe, une soixantaine de Jurassiens ont participé au 18ème pèlerinage à Sachseln-Flüeli-Ranft, le 7 mai 2017 sur les traces du saint patron de la Suisse. Organisée par Gérald Friche, la journée s’est déroulée en présence de Mgr Denis Theurillat, évêque auxiliaire de Bâle.


« Que le nom de Jésus soit votre salutation. Nous vous souhaitons beaucoup de bien et que le Saint-Esprit soit votre ultime récompense. » C’est avec cette phrase que Nicolas de Flue (1417-1487) nous salue. Homme profondément spirituel, il a vécu il y a plus de 500 ans dans la toute jeune confédération Suisse, qu’il préserva d’une guerre civile.

Il entra dans l’histoire de son pays comme « Père de la patrie ». Il a servi son pays en tant que paysan-mercenaire, père de famille nombreuse, conseiller d’état et juge, puis en vivant 20 ans comme ermite, retiré au fond d’une gorge à moins d’un kilomètre de sa maison familiale.

A travers ce film, Net for God nous invite à découvrir et à entrer dans le mystère de cette vocation, qui est non seulement la sienne, mais aussi celle de son épouse Dorothée et de ses fils ainés qui ont donné leur consentement. Nous n’avons aucun écrit de la main de frère Nicolas puisqu’il ne savait ni lire et écrire. Ce que nous savons, est rapporté par les écrivains de rue de l’époque.

Une phrase nous touche particulièrement ; elle représente son acte d’offrande : « Mon Seigneur et mon Dieu, éloigne de moi tout ce qui m’éloigne de toi. Mon Seigneur et mon Dieu, donne-moi tout ce qui me rapproche de toi. Mon Seigneur et mon Dieu, détache-moi de moi-même pour me donner tout à toi. » Paradoxalement, l’influence de frère Nicolas sur le monde de son époque, grandit au fur et à mesure qu’il se retire.

Aujourd’hui, nous observons sous différents aspects les troubles dans le monde. Il suffit d’ouvrir les journaux pour le constater, cette violence se déroule parfois sous nos yeux, là ou nous vivons. Le message de paix de frère Nicolas est plus actuel que jamais. Laissons-nous conduire au gré de ces quelques minutes de film afin de le découvrir. Ce film est réalisé par la Communauté du Chemin Neuf via le réseau international de prière « Net for God ».


Une vie une œuvre (Nicolas de Flue)
(1417- 1487)
Le laboureur de l’ invisible  » C.Mettra « 

Nicolas de Flüe

Oratorio d’Arthur Honegger

Texte de Denis de Rougemont

Harmonie La Concordia de Fribourg

Direction Jean-Claude Kolly Choeur et Maîtrise Saint-Pierre-aux-Liens de Bulle

Préparés par Bernard Maillard – Récitant Yann Pugin – Murten Classics – Eglise allemande de Morat 18 août 2016

⛪ La Confession, Sacrement de Réconciliation ✝ 🛐 🤝 💜

Les 7 Péchés Capitaux – Découverte de la religion chrétienne


Pope Francis shakes hands with a young faithful after confessing him, during Youth Jubilee at Saint Peter square in Vatican, Saturday, April 23, 2016. Sixteen teenagers have gotten an unexpected opportunity to confess sins to Pope Francis. The pontiff made a surprise appearance in St. Peter’s Square, where thousands were participating in Holy Year youth activities, with confession outdoors at the Vatican. (Angelo Carconi/ANSA via AP Photo)

Pourquoi se confesser ? – Paroisse Sainte-Marie des Anges


La Réconciliation, la confession – Diocèse d’Albi


Sacrement de pénitence et de réconciliation

Le sacrement de pénitence et de réconciliation, appelé aussi sacrement de confession, est, dans l’Église catholique, dans les Églises orthodoxes et dans l’Église anglicane, l’un des sept sacrements. Il a pour objectif que Dieu puisse pardonner les péchés au pénitent.

Description

C’est Dieu seul qui pardonne les péchés (Mc 2, 7). Parce que Jésus est le Fils de Dieu, Il dit de Lui-même : Le Fils de l’Homme a le pouvoir de remettre les péchés sur la terre (Mc 2, 10). Le Christ a confié l’exercice du pouvoir d’absolution au ministère apostolique, qui est chargé du « ministère de la réconciliation » (2Co 5, 18)1.

Le sacrement permet aussi au fidèle de se réconcilier avec l’Église.

Les actes du pénitent lors du sacrement comprennent quatre phases :

  1. L’examen de conscience par lequel on recherche ses péchés ;
  2. La contrition, ou repentir ; qui implique de regretter ses fautes et de prendre la résolution de ne plus les commettre. Dans le catholicisme, elle s’exprime par l’acte de contrition : « Mon Dieu, je Te demande pardon pour mes péchés. Je regrette de T’avoir fait de la peine. Aide-moi, je ne veux plus recommencer. »
  3. La confession des péchés ;
  4. La satisfaction (ou pénitence).

Dans le catholicisme, elle s’exprime par l’acte de contrition : « Mon Dieu, j’ai un très grand regret de vous avoir offensé, car vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce, de ne plus vous offenser et de faire pénitence. »

L’incidente sur le recours à la grâce prend acte de la difficulté à se défaire de ses mauvaises habitudes.

Le sacrement de pénitence et de réconciliation est surtout nécessaire pour les cas de péchés mortels, comme le rappelle l’exhortation apostolique postsynodale Reconciliatio et Paenitentia de Jean-Paul II (1984). Les cas de péchés véniels peuvent bénéficier de la grâce sanctifiante de l’eucharistie.

L’absolution n’est normalement accordée que si le pénitent assure une réparation de ses torts envers ses victimes, par exemple une restitution après un vol ou des excuses après une vexation volontaire. Lorsque ce n’est pas possible, une peine lui faisant prendre conscience de la gravité de ses actes lui est demandée. Ainsi Philippe Néri demanda à une médisante de répandre des plumes dans toute sa ville puis, quelques jours plus tard, de les rattraper : tâche aussi peu faisable que d’arrêter la circulation des rumeurs qu’elle avait lancées.2,3.

Appellations

Ce sacrement porte plusieurs noms4 :

  • Sacrement de conversion, car il réalise sacramentellement l’appel de Jésus à la conversion (Mc 1, 15), la démarche de revenir au Père dont on s’est éloigné par le péché (Lc 15, 11-32, parabole du fils prodigue) ;
  • Sacrement de pénitence, parce qu’il consacre une démarche personnelle et ecclésiale de conversion et de repentir,
  • Sacrement de la confession, parce que l’aveu, la confession des péchés devant le prêtre est un élément essentiel de ce sacrement ;
  • Sacrement du pardon, parce que par l’absolution du prêtre, le pénitent s’ouvre au pardon et à la paix de Dieu.
  • Sacrement de la réconciliation, car il donne au pécheur l’amour de Dieu qui réconcilie : « Laissez-vous réconcilier avec Dieu » (2Co 5, 20) et la réponse à un appel du Seigneur : « Va d’abord te réconcilier avec ton frère » (Mt 5, 24).

Références dans les Écritures

Selon ces Églises, ce sacrement a été institué par le Christ, qui, selon les évangiles, a annoncé qu’il donnerait à l’Église, en l’espèce à Pierre et aux apôtres, le « pouvoir de lier et de délier » (Évangile selon Matthieu 16, 19).

Après la résurrection, apparaissant à ses disciples, le Christ leur a dit : « Recevez le Saint Esprit. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » (Évangile selon Jean 20, 22-23).

Il existe également des références dans les épîtres de Paul, notamment : « Tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Jésus-Christ, et qui nous a confié le ministère de la réconciliation. Car Dieu réconciliait le monde avec lui-même dans le Christ, n’imputant pas aux hommes leurs offenses, et mettant sur nos lèvres la parole de la réconciliation. C’est donc pour le Christ que nous faisons les fonctions d’ambassadeurs, Dieu lui-même exhortant par nous : nous vous en conjurons pour le Christ, réconciliez-vous avec Dieu ! » (2Co 5, 18-20)


Un dessin animé qui met les enseignements de l’Eglise à la portée de tous, à suivre tous les samedis à 20H35 sur KTO. Animation proposée par le père J.M. Schwarz du diocèse de Vaduz (Principauté de Liechtenstein) et l’association KathMedia. Retrouvez tous les épisodes de cette série avec l’application 3MC (3 Minute Catechism) sur Apple ou Androïd.
Le caté en 3 minutes du 15/07/2017.


À force de le déserter, beaucoup de baptisés craignent de demander le sacrement de la réconciliation. Que faut-il-il dire au prêtre ? Comment ce sacrement se déroule-t-il ? Quel est le sens des différents gestes et paroles ? De la même façon qu’il est nécessaire de « reconnaître que l’on est malade, pour pouvoir être guéri » a souligné Benoît XVI, il est nécessaire de reconnaître son péché  » pour que le pardon de Dieu, déjà donné sur la Croix, puisse avoir un effet dans son coeur et dans sa vie « . Le troisième épisode de la série « Osez le sacrement de réconciliation ! » est une invitation à découvrir soi-même l’expérience de « l’amour miséricordieux ».
Vies de famille du 27/02/2013.


Quels péchés faut-il confesser ? Question n°304 du Compendium du Catéchisme de l’Église Catholique. Les textes, tirées du site du Vatican (Copyright © 2005 – Libreria Editrice Vaticana, 00120 Città del Vaticano), se trouvent aux liens suivants : http://www.vatican.va/archive/compendium_ccc/documents/archive_2005_compendium-ccc_fr.html


À l’occasion de l’Année de la miséricorde, le père Hervé Soubias, curé-recteur de la basilique Notre-Dame des Victoires à Paris (2e) explique le Sacrement de Réconciliation.


Vous-même ou des personnes de votre entourage ne voient peut-être pas l’intérêt du sacrement de réconciliation. Sœur Henriette Kaboré, dominicaine de la Présentation de Tours, responsable en catéchèse à Marseille, répond à ces questions que l’on entend si souvent : à quoi ça sert ? Pourquoi le prêtre est-il indispensable ?
Suivez toute cette série sur les péchés capitaux sur http://www.theodom.org


Les enfants, les catéchumènes, nous-mêmes souvent, ne savons pas comment célébrer ce sacrement. Dans cette seconde vidéo, sœur Henriette retrace l’ensemble des étapes. Elle commence par la préparation que chacun fait, seul, dans la prière, puis elle nous commente le rituel liturgique, sans oublier d’évoquer les différentes variantes qu’il propose.


Comment bien se confesser ? L’abbé Grosjean répond en donnant les 3 façons de rater sa confession ! Histoire d’éviter à notre tour de tomber dans ces pièges. N’oublions pas : notre joie sera à la hauteur de notre franchise ! Retrouvez-nous aussi sur http://www.padreblog.fr



Episode 1 – Nous croyons que, dans sa miséricorde, le Christ ressuscité a conféré son propre pouvoir divin de pardonner les péchés à ses Apôtres. Le premier moyen, c´est le Baptême. Mais la grâce du Baptême ne nous empêche pas, hélas, de pouvoir pécher ensuite. C’est par le sacrement de la Réconciliation, la confession, que tout baptisé peut à tout moment être réconcilié avec Dieu et avec l’Eglise.
Credo du 05/09/2017.


Pour commettre un péché, il faut deux conditions principales : il faut savoir ou penser que l´acte que je commets est un mal ; et il faut que je le fasse librement. Pour qu´il y ait péché grave, il faut que le contenu du péché soit grave. Certains actes sont toujours intrinsèquement graves, comme tuer quelqu´un par exemple. D’autres ne le sont que suivant les circonstances. Face au péché, la confession est une manière de nous remettre dans l´amour de Dieu, des autres et de nous-mêmes. C’est une véritable libération, une véritable « résurrection spirituelle », nous réconciliant avec Dieu et nous remettant en alliance avec lui. La confession est une rencontre personnelle avec le Christ, comme quand, dans l’Évangile, un pécheur le rencontrait et découvrait sa bonté et sa miséricorde.
Les Sacrements du 15/05/2018.


Comme tous les sacrements, la pénitence est une action liturgique. Ordinairement, elle se déroule ainsi : salutation et bénédiction du prêtre, lecture de la Parole de Dieu pour éclairer la conscience et susciter la contrition ; confession des péchés ; encouragement du prêtre ; absolution ; envoi avec la bénédiction du prêtre. La confession est faite pour nous faire progresser dans le bien et dans l´amour ; elle suppose pour cela un aveu humble, sincère, complet, un souci de réparer ce qui peut l´être.
Les Sacrements du 22/05/2018.


La confession, strictement, ne concerne que les péchés mortels. Mais il est bon de savoir confesser nos fautes moins graves, pour recevoir la grâce qui est liée à leur aveu : un conjoint ne peut se contenter de demander pardon à l´autre une fois par an seulement ; normalement, il le fait à chaque fois qu´il l´a blessé…Pourquoi se confesse-t-on confesser à un homme, et pas directement à Dieu ? En fait, dans la vie chrétienne, nous faisons bien les deux. Se confesser à un prêtre fait partie du mystère de l´Incarnation. Celui qui nous pardonne, c´est bien le Christ ; mais il le fait à travers un prêtre qui représente Jésus et à qui il prête son humanité. Et nous avons besoin d´entendre, dans notre langage humain, que nous sommes pardonnés. Le prêtre représente aussi ceux que nous avons offensés, et par son intermédiaire, c´est à eux que nous demandons aussi pardon.
Les Sacrements du 29/05/2018.


La confession passe par un prêtre. Comment sortir de la honte que nous pourrions ressentir devant lui en avouant nos péchés ? Ne risque-t-il pas de nous juger ? Pour y échapper, un bon moyen ne serait-il pas alors l´absolution collective ? Et le secret de la confession est-il vraiment absolu ? Mgr Jean-Marie Le Vert termine ici sa réflexion autour du sacrement de la Réconciliation en révélant notamment que tout confesseur, en recevant nos aveux, devine l´action de Dieu en nous…
Les Sacrements du 05/06/2018.


Dans cet épisode de la Foi prise au mot, Régis Burnet se penche sur le sacrement de la confession. Quand a-t-il été institué ? Pourquoi l’Eglise recommande-t-elle son « usage » avant les grandes fêtes ? Est-il vraiment nécessaire à toute vie chrétienne ? Comment s’est-il pratiqué dans l’histoire ? Le sacrement du pardon est le premier reflet de l’amour et de la miséricorde de Dieu, preuve de sa patience et de sa bonté infinie pour son peuple.


Vidéo réalisé par télé-lumière au Liban en septembre 2012 durant la mission de soeur Emmanuel





Ceci est une courte animation pour sensibiliser les plus jeunes sur la fornication qui déplaît à Dieu.

“Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas.”
‭‭Proverbes‬ ‭22:6‬ ‭




Pauline a rencontré le Christ alors qu’elle avait une trentaine d’années, à l’occasion d’un pèlerinage, et plus particulièrement lors d’une confession, la première depuis son enfance. Elle nous dit la profondeur et la beauté du sacrement de réconciliation, où Dieu se donne dans la puissance et la douceur de sa Miséricorde, remettant notre vie à l’endroit.
Émission du 18/09/2012.


📜 Fête de saint Joseph (Époux de la Très Sainte Vierge Marie, Patron de l’Église universelle) Fête le 19 mars 📜 & saint Joseph Travailleur 📜 Fête le 1er mai

📜 Fête de saint Joseph (Époux de la Très Sainte Vierge Marie, Patron de l’Église universelle) Fête le 19 mars 📜 & saint Joseph Travailleur 📜 Fête le 1er mai

Les saints du jour – 19 mars


Les saints du jour – 1er mai


🇻🇦 Lettre Apostolique Patris Corde (avec un Cœur de Père) : Année Spéciale Dédiée à Saint Joseph 👨‍👩‍👦⛪ – Découverte de la religion chrétienne


Joseph

Joseph (יוֹסֵף (Yosef) en hébreu ; Ἰωσήφ (Ioséph) en grec) est un personnage juif qui apparaît pour la première fois dans l’Évangile selon Matthieu et dans l’Évangile selon Luc : il s’agit de passages sans doute ajoutés ultérieurement et appelés les évangiles de l’enfance de Jésus (Mt 1,18 et Lc 2,3). Joseph apparaît aussi dans un texte plus tardif, le Protévangile de Jacques, composé au milieu du IIe siècle ; cette version est incompatible par certains aspects avec celle des évangiles canoniques.

D’après les Évangiles synoptiques, puis selon les auteurs chrétiens et notamment les Pères de l’Église, Joseph serait un lointain descendant d’Abraham et du roi David (Mt 1,1-17) de la Tribu de Juda. Il est fiancé à Marie lorsque celle-ci se retrouve enceinte par l’action de l’Esprit saint. Il épouse alors Marie et, acceptant l’enfant, devient le père nourricier de Jésus, qui, de ce fait, appartient à sa lignée, celle de David. Les Évangiles synoptiques insistent sur ce point, car pour eux Jésus est « le Messie fils de David ». Joseph est présenté comme un « homme juste » qui a accepté d’accueillir Marie et son enfant à la suite du message de l’Ange du Seigneur (Dieu). Des textes juifs polémiques comme les passages censurés du Talmud ou les Toledot Yeshu présentent Jésus comme étant né d’une relation hors mariage.

Il est indiqué en Mt 13,55 que Joseph est « charpentier », sans que l’on sache s’il faut prendre ce terme au sens premier ou avec celui « d’homme sage ». Joseph est mentionné pour la dernière fois lors du pèlerinage familial à Jérusalem lorsque Jésus, âgé de douze ans, est retrouvé au Temple (Lc 2,41-50). La tradition chrétienne ainsi qu’une partie de la critique historique en ont déduit qu’il était mort avant que Jésus n’entre dans la vie publique.

Joseph est appelé « Joseph le fiancé (de Marie) » dans la tradition orthodoxe ou plus généralement « saint Joseph ». Il est devenu un personnage de la tradition chrétienne.

Le mois de mars lui est dédié2, surtout le 19 mars où il est célébré par toute l’Église catholique. Le 1er mai est consacré à saint Joseph, travailleur.



Saint Joseph (Époux de la Très Sainte Vierge Marie, Patron de l’Église universelle) – 19 mars

Saint Joseph descendait de la race royale de David. On croit généralement qu’en vue de la mission sublime que le Ciel lui destinait, il fut sanctifié avant sa naissance. Nul ne peut douter que Joseph ne fût préparé à son sublime ministère, quand la Providence, qui dirige tous les événements, unit son sort à celui de Marie.

L’Évangile est très sobre de détails sur saint Joseph, et on y voit tout résumé en ces mots: « Il était juste. » Mais que ces mots couvrent de merveilles, puisque les docteurs s’accordent à dire que saint Joseph tient le premier rang après Marie parmi tous les Saints!

Son père l’éleva, d’après la tradition, dans l’état modeste de charpentier; il pouvait avoir, selon de sérieux auteurs, une cinquantaine d’années, et il avait gardé une chasteté parfaite, lorsque la Volonté de Dieu lui confia la Très Sainte Vierge. Cette union, belle devant les anges, dit saint Jérôme, devait sauvegarder l’honneur de Marie devant les hommes.


Saint Joseph, travailleur – Fête le 1 Mai

La fête de saint Joseph, travailleur, a été fixée au 1er mai par le pape Pie XII en 1955. Le monde du travail prend une conscience grandissante de son importance et c’est le rôle de l’Église de lui enseigner toute sa dignité ; la figure de saint Joseph y contribue merveilleusement. Cette fête de saint Joseph est une triple fête patronale : fête de l’Église, fête de la famille et du foyer, fête du travail.

La présence de Jésus dans l’atelier de Nazareth enseigna à saint Joseph le prix des heures pénibles. Le dur labeur, accepté comme une réparation pour le mépris de l’homme des lois de Dieu, a acquis grâce au Christ, une valeur rédemptrice. Artisan avec Dieu créateur, frère de travail de Jésus-Ouvrier, associé au rachat du monde, saint Joseph n’attirera jamais trop les regards et la prière de notre siècle.

C’est pourquoi l’Église, s’inspirant de la Tradition qui baptisa autrefois quantité de fêtes païennes pour les doter d’un contenu chrétien tout nouveau, plaça la fête civile du travail sous le puissant patronage de saint Joseph. Ouvrier toute sa vie, qui mieux que lui rendit grâces à Dieu le Père en son labeur de chaque jour ? C’est ce modeste artisan que Dieu choisit pour veiller sur l’enfance du Verbe incarné venu sauver le monde par l’humilité de la croix.

« N’est-il pas le fils du charpentier ? » disait-on du Sauveur. Joseph, connu à Nazareth comme l’époux de Marie et le père de Jésus, homme juste, sans autres ressources que son métier, Joseph, ce fugitif de la grandeur, nous apparaît comme le modèle achevé de l’ouvrier selon le cœur de Dieu.

Diligence, application, constance, sérénité, abnégation de soi, telles furent les vertus du saint charpentier de Nazareth. Par ses paroles et par ses exemples, Joseph nous enseigne l’humilité, la pauvreté, la mortification du corps et le travail. Quand nous avons, comme dit l’Apôtre, la nourriture et le vêtement, contentons-nous-en ; tenons-nous-en au nécessaire, sans aspirer au superflu. Apprenons du saint charpentier de Nazareth à envisager le travail, non comme un esclavage, mais comme un privilège de grandeur et de noblesse, car le travail expie le péché et sanctifie l’homme.

Rappelons-nous aussi que c’est l’effort et non le succès qui garantit le mérite et la récompense. Sur la terre, le travail est la suprême fonction de l’homme et toute sa vie dépend de la manière dont il sait l’accomplir. Comme saint Joseph, imprégnons notre travail de foi, d’espérance et de charité afin d’obtenir cette transfiguration divine des besognes ordinaires. Cet esprit surnaturel nous évitera le mécontentement et la mauvaise humeur. À l’exemple du saint Patriarche, que la prière se joigne à notre travail afin que notre travail devienne une prière.

Prière de saint Pie X au glorieux saint Joseph modèle des travailleurs :

Glorieux saint Joseph, modèle de tous ceux qui sont voués au travail, obtenez-moi la grâce de travailler en esprit de pénitence pour l’expiation de mes nombreux péchés ; de travailler en conscience, mettant le culte du devoir au-dessus de mes inclinations ; de travailler avec reconnaissance et joie, regardant comme un honneur d’employer et de développer par le travail les dons reçus de Dieu ; de travailler avec ordre, paix, modération et patience, sans jamais reculer devant la lassitude et les difficultés ; de travailler surtout avec pureté d’intention et avec détachement de moi-même ayant sans cesse devant les yeux la mort et le compte que je devrai rendre du temps perdu, des talents inutilisés, du bien omis et des vaines complaisances dans le succès, si funestes à l’œuvre de Dieu. Tout pour Jésus, tout pour Marie, tout à votre imitation, patriarche saint Joseph ! Telle sera ma devise à la vie à la mort. Amen


Un reportage biblique sur une question de foi, utilisable par des catéchistes ou des parents pour lancer une réflexion avec des enfants.


Si saint Joseph est aujourd’hui fêté le 19 mars, cela n’a pas toujours été le cas dans la tradition de l’Eglise.


Après Marie, Joseph est incontestablement le plus grand saint de la chrétienté. Voici ce que l’on sait de lui.


Le pape François a décrété une année spéciale dédiée à saint Joseph à l’occasion du 150e anniversaire de sa proclamation comme Patron de l’Église universelle. Elle commence ce mardi 8 décembre 2020 et s’achèvera le 8 décembre 2021. En décrétant une année spéciale dédiée à saint Joseph, le pape François invite les croyants à se placer sous sa protection.


Quand nous avons des difficultés, saint Joseph nous inspire parce qu’il a su marcher dans les ténèbres, écouter la voix de Dieu et avancer en silence.





Jésus, Marie et Joseph forment le modèle de la vie familiale pour les chrétiens. La fête de la sainte famille est inscrite dans le calendrier liturgique depuis le XIXè siècle.


Dans les évangiles, rien ne dit comment Marie et Joseph se sont rencontrés. Par leur mariage, s’accomplit la prophétie selon laquelle le Sauveur appartient à la lignée de David.


Sainte Bernadette Soubirous, qui a vu la Vierge Marie à Lourdes, avait une relation de prière très particulière avec saint Joseph.


Racontée dans un ouvrage du XIXè siècle, cette légende raconte comment saint Joseph sauva un moine espagnol de la mort, alors qu’il tentait de retrouver son chemin




« Bonjour Père, pourquoi … ? » Cette semaine, l’abbé Pierre Amar répond en 3 mn à la question d’Héritier Baya, 35 ans : « Je suis prêtre du diocèse d’Idiofa en République Démocratique du Congo en Afrique. Quel privilège spécial Dieu a-t-il donné à Joseph pour faire sa différence d’avec tous les hommes de la terre, lui le père nourricier du Christ ? »


Paraboles d’un curé de campagne du 20/12/2015.


S´il est un personnage tout à la fois très populaire et très méconnu, c´est bien saint Joseph.
L´époux de Marie joue un tout petit rôle dans les évangiles. À peine quelques versets au moment de la nativité, une inquiétude lors de l´adolescence de Jésus avec l´épisode de Jésus parmi les docteurs, et puis, plus rien. Et en plus un rôle pas très facile : non seulement il accepte d´accueillir Jésus et de le tenir comme son fils, mais il est prêt à courir tous les désagréments de l´Exil à cause de l´enfant qui n´est même pas de lui et que le roi Hérode pourchasse. Mais en même temps, pas une église de campagne sans saint
Joseph, pas un pèlerinage sans une prière à saint Joseph, patron des voyageurs.
Comment expliquer cette curieuse différence ? Pourquoi saint Joseph est-il tout à la fois tellement important et si discret ? Voici les questions que Régis Burnet posera à ses deux invités : Dominique Ponnau, auteur de Saint Joseph ou la vérité du songe (Editions Artège), et le frère Dominique Joseph, moine de la famille de Saint-Joseph, auteur de Pensées spirituelles sur saint Joseph (Editions Artège).
La Foi prise au Mot du 28/04/2019.


À l’occasion de la publication de sa lettre apostolique Patris corde, le pape François a proclamé une année saint Joseph jusqu’au 8 décembre 2021. Cet épisode de La foi prise au mot est une occasion de redécouvrir la figure du père nourricier de Jésus. Qu’en disent les textes bibliques ? Que racontent les légendes ? Et quels enseignements pouvons-nous tirer de la figure de Saint Joseph ? Régis Burnet reçoit le frère carme Anthony-Joseph et Anne-Catherine Baudoin, professeur de Nouveau Testament et christianisme ancien.


Le 8 décembre 2020, pour célébrer cet anniversaire, le pape François a publié « quelques réflexions personnelles sur cette figure exceptionnelle » dans la belle lettre apostolique Patris Corde (« Avec un cœur de père »). Il a alors proposé que l’année 2021 soit « une année spéciale dédiée à saint Joseph ».

En ces temps perturbés, nous serions tous bien inspirés de nous tourner en famille vers saint Joseph, gardien de la Sainte Famille, et de confier spécialement nos soucis de santé, de travail, nos églises domestiques et notre grande Église à sa protection si puissante.


À quelques jours de la Saint Joseph, « Hors-les-Murs » vous emmène à la découverte du culte de saint Joseph, en plein renouveau en France. Des papas aux demandeurs d’emploi en passant par les moines et moniales, quelle est la place du père adoptif de Jésus dans le quotidien de nos communautés chrétiennes ? Depuis le chantier du Monastère de Mont-Rouge à Puimisson dans l’Hérault, David Milliat vous accompagne à la rencontre de la famille Saint Joseph du père Verlinde.

Un voyage spirituel qui vous mènera également sur de nombreux lieux de dévotions joséphins : à Cottignac en Provence, à Allex dans la Drôme, à Mont-Luzin dans le Rhône, à Beauvais en Picardie ou même à Montréal, au Canada…
Hors les Murs du 17/03/2011.

📜 Fête de saint Cyrille de Jérusalem (Évêque, docteur de l’Église, 315-386) 📜 Fête le 18 mars

📜 Fête de saint Cyrille de Jérusalem (Évêque, docteur de l’Église, 315-386) 📜 Fête le 18 mars

Cyrille de Jérusalem

Cyrille de Jérusalem (v. 315 ? – 387) est un évêque de Jérusalem de 350 à 386 et un des Pères de l’Église. Il est révéré comme saint tant par les orthodoxes que par les catholiques et est fêté le 18 mars. En 1883, il est proclamé Docteur de l’Église par le pape Léon XIII.

Œuvres

  • Une pro-catéchèse et dix-huit catéchèses baptismales, homélies prêchées aux catéchumènes de Jérusalem durant le carême au début de sa carrière (voir la note 2).
  • Cinq catéchèses mystagogiques, prêchées durant la semaine après Pâques aux néophytes (aujourd’hui plutôt attribués à Jean II de Jérusalem).
  • Une lettre à l’empereur Constance. Dans cette lettre, Cyrille raconte l’apparition d’une croix lumineuse dans le ciel de Jérusalem, s’étendant du Calvaire au mont des Oliviers. La date du 7 mai, dans beaucoup de calendriers liturgiques, conserve le souvenir de cet événement, qui date sans doute de 351.

Les Catéchèses ont été plusieurs fois publiées, notamment par dom Antoine-Augustin Touttée et dom Maran, à Paris, 1720, in-folio, grec-latin ; par W-K Reischl et J. Rupp, à Munich, 1848 et 1860, 2 volumes in-8, et par l’abbé Jacques-Paul Migne dans le vol. 33 de sa Patrologie, 18571860. Les Catéchèses ont été traduites en français par Grandcolas, 1715 et par J. Bouvet (Saint Cyrille de Jérusalem, Catéchèses baptismales et mystagogiques, Namur, 1962).

Les Catéchèses baptismales

Église du Saint-Sépulcre (Jérusalem), Plan du site au IVe siècle, en bleu la basilique de Constantin18.

Cette œuvre constitue un témoignage unique pour l’histoire de la liturgie, en particulier pour la connaissance des cérémonies du baptême au milieu du IVe siècle à Jérusalem et de son temps de préparation, à savoir le carême. Elle permet également de connaître le Credo de Jérusalem à cette époque et, singulièrement, de parcourir, au fil des prédications, les principaux lieux de la basilique de Constantin : le martyrium, l’anastasis et l’atrium (éléments sur la page Église du Saint-Sépulcre (Jérusalem)).

Pour introduire ses conférences catéchétiques, Cyrille montre aux nouveaux candidats l’importance du sacrement du baptême auquel ils se préparent (Procatéchèse), sacrement qu’il présente de manière générale tout d’abord (Catéchèses 1-5). Une telle préparation suppose une lecture assidue des Écritures et une réflexion sur les différents articles de foi, commentaire simple et direct du Credo (Catéchèses 6-18).

Ainsi achevées, ces conférences catéchétiques permettent donc aux nouveaux chrétiens d’avancer en toute sécurité sur le chemin de la foi :

« Nous avons besoin de la grâce divine, d’une sage perspicacité et d’yeux bien ouverts, afin de n’être pas victimes de notre ignorance, en mangeant de l’ivraie pour du blé […] »

— Cyrille, Catéchèses, 4.

Des indications assez précises existent dans les catéchèses baptismales quant aux circonstances de leur élocution. Comme ces indications ont une certaine importance pour déterminer la forme qu’avait le carême au IVe siècle en Orient, il est intéressant de relever ces passages. De ce point de vue il est aussi important de relever la liste des lectures bibliques à partir desquelles le commentaire est tressé.

Les lectures commentées dans les Catéchèses

Fresque byzantine tardive de la destruction de l’enfer (Anastasis), Saint-Sauveur-in-Chora, Constantinople.

Le lectionnaire arménien (LA)19 contient presque exactement les mêmes lectures que celles commentées par Cyrille, dans une liste insérée au début du cycle quadragésimal20. Le lectionnaire géorgien (LG) regroupe, quant à lui, ces lectures dans les deux dernières semaines avant la grande semaine (la semaine sainte), dans le cadre des offices qui y sont décrits, à raison de deux lectures par jour. On trouvera donc ici les lectures telles qu’elles sont données dans le lectionnaire arménien, dont les Catéchèses de Cyrille ne citent en général, au début, que l’incipit, suivie par la référence au LG (où la péricope est souvent plus longue ou plus courte).

  1. La pro-catéchèse est une invitation aux « illuminands » à commencer leur initiation en vue du baptême à Pâques. Égérie explique que, la veille du carême (45, § 1), le dimanche soir, les noms des impétrants sont inscrits puis, le lendemain (matin, dans le Martyrium, après l’office du matin, 46, § 1), l’évêque passe en revue les candidats pour savoir s’ils sont dignes d’être baptisés (46, § 2-4). Ce devait être à son époque (en 384) l’occasion de la pro-catéchèse, qui ne porte sur aucune lecture particulière. Mais il y a une différence entre Cyrille et Égérie : d’une part le carême comporte huit semaines pour celle-ci, alors que des auteurs comme Origène, Eusèbe ou Sozomène disent qu’il y avait, au IVe siècle en Palestine, six semaines de carême seulement21 ; d’autre part, il y a des raisons de croire que les catéchèses baptismales se disaient en fait dans les trois dernières semaines avant Pâques22.
  2. La première catéchèse suit la lecture de Is. 1, 16-20. Dans LG : lundi III (= de la 3e semaine avant Pâques), suivie par Ro. 9, 13-24 (péricope absente de LA).
  3. La deuxième catéchèse suit la lecture de Ez. 18, 20b-23. Dans LG : mardi III.
  4. La troisième catéchèse suit la lecture de Ro. 6, 3-14. Dans LG : mercredi III.
  5. La quatrième catéchèse suit la lecture de Col. 2, 8 – 3, 4. Dans LG : jeudi IV.
  6. La cinquième catéchèse suit la lecture de Hb. 11, 1-31. Dans LG : lecture omise (remplacée par Hb. 9, 1-31 vendredi III).
  7. La sixième catéchèse suit la lecture de Is. 45, 16b-26. Dans LG : lundi II.
  8. La septième catéchèse suit la lecture de Eph. 3, 14 – 4, 13. Dans LG : mardi II.
  9. La huitième catéchèse suit la lecture de Jér. 32 (= 39 en hébreu), 19b-44. Dans LG : mercredi II.
  10. La neuvième catéchèse suit la lecture de Jb 38, 2 – 39, 35 (= 40, 5 en hébreu). Dans LG : jeudi II.
  11. La dixième catéchèse suit la lecture de I Cor. 8, 5 – 9, 23. Dans LG : vendredi II.
  12. La onzième catéchèse suit la lecture de Hb. 1, 1 – 2, 1. Dans LG : mercredi II.
  13. La douzième catéchèse suit la lecture de Is. 7, 10 – 8, 10. Dans LG : jeudi III.
  14. La treizième catéchèse suit la lecture de Is. 53, 1 – 54, 5. Dans LG : vendredi III.
  15. La quatorzième catéchèse suit la lecture de I Cor. 15, 1-28. Dans LG : mardi III. À cause de son contenu, la Résurrection, c’est la seule catéchèse cyrillienne qui se donne dans l’Anastasis au lieu du Martyrium.
  16. La quinzième catéchèse suit la lecture de Dn. 7, 2-27. Dans LG : mardi II.
  17. La seizième catéchèse suit la lecture de I Cor. 12, 1-7. Dans LG : lundi II.
  18. La dix-septième catéchèse suit la lecture de I Cor. 12, 8-27. Dans LG : jointe à la précédente le lundi II (I Cor. 12, 1-14).
  19. La dix-huitième catéchèse suit la lecture de Ez. 37, 1-14. LA ajoute une lecture (I Tim. 3, 14-16) commentée par Cyrille dans la même catéchèse. Dans LG : vendredi II, avec une autre partie du livre le mercredi III (Ez. 36, 5 ss ou 47, 1 ss), et jeudi II pour la lecture de I Tim.

La question se pose maintenant de savoir quand les catéchèses cyrilliennes ont été prononcées dans le cadre d’un carême de six semaines.

Catéchèse 6

« Déteste tous les hérétiques, en particulier celui qui a reçu son nom de la folie qui a commencé récemment sous le Basileus Probus : son erreur en effet remonte au total à (un peu) plus de soixante-dix ans et il reste encore maintenant des hommes qui ont vu de leurs yeux ce champion. Ce n’est pourtant pas parce qu’il est récent que tu dois le détester… » (§ 20). La Catéchèse 6 se situe donc 70 ans après l’apparition de Mani, sous l’empereur Probus qui régna de 276 à 282. D’autres sources font remonter l’apparition de Mani à 277 ou 27823, ce qui permet de situer ce texte avec assez de précision en 347 ou 348, cette dernière date, plus probable, étant celle de la consécration épiscopale de Cyrille. Il n’est par contre pas du tout certain que toutes les catéchèses aient été prononcées la même année.

Catéchèses 7-8

« En effet, comme nous le disions hier, avant même d’exposer ce qui touche notre Seigneur Jésus Christ, du seul fait que nous avons affirmé l’existence d’un “Père”, nous avons déjà montré qu’il existe un Fils dont il est le Père, entendant ainsi reconnaître, de la même manière, et qu’il est Dieu, et qu’il a un Fils. » (§ 1) La septième catéchèse, qui tourne tout entière autour de la paternité de Dieu, fait effectivement allusion à l’argument évoqué ici (VII 4). Elles ont donc été prononcées la même année, même s’il ne faut pas exclure des retouches ultérieures.

Catéchèses 10-12

« […] comme tu l’as entendu le dimanche où nous parlions à la synaxe sur l’expression “selon l’ordre de Melchidédeq”. (Ps. 109, 4) » (X 14) Dans LG, le Ps. 109 (110) n’est guère attesté les dimanches du temps de carême. Il est certain qu’il existait encore dans le second tiers du IVe siècle une certaine liberté dans le choix ces antiennes.

« Notre espérance, c’est Jésus Christ, nos instructions d’hier, selon nos capacités, l’ont suffisamment établi. » (XI 1) Ce début de la onzième catéchèse peut faire allusion à la Catéchèse X qui trait des noms de Jésus ; toutefois, l’allusion n’est pas très précise et ne suffit pas à affirmer de manière certaine que les catéchèses 10-11 datent de la même année.

« Rappelle-toi donc ce qui a été dit hier de la divinité. » (XII 4) Ceci peut faire allusion à la onzième catéchèse, qui traite de la génération éternelle du Fils, « Dieu véritable » (XI 21).

Catéchèse 14

« Le déroulement de la didascalie de la foi invitait à parler aussi de l’Ascension, mais la grâce de Dieu a voulu que très complètement tu en aies entendu parler, à la mesure de notre faiblesse, hier dimanche. Par une disposition de la grâce divine, la suite des lectures faites à la sainte synaxe comportait ce qui regarde la montée aux cieux de notre sauveur. » (§ 24)… « J’ai laissé le reste de l’argumentation ; je vous l’ai dit hier à la synaxe dominicale. » (§ 26) Cette catéchèse a donc été prononcée le lendemain d’un dimanche. Le plus probable est qu’il s’agissait du dimanche des Rameaux, où la lecture de Eph. 1, 3-10 peut donner lieu à un commentaire sur l’Ascension et où, le soir24, on se rendait au sommet du mont des Oliviers25.

Catéchèse 18

« Sur la foi sainte des apôtres qui vous a été transmise pour que vous la proclamiez, nous vous avons donné autant de catéchèses que possible, par la grâce de Dieu, au cours de ce carême qui s’achève. »26 (§ 14) « Qui voudrait suivre en détail l’exposé des faits merveilleux arrivés (en ce sens) trouverait certes beaucoup à dire. Mais vu la fatigue que vous avez déjà supportée, et ce qu’y ajoutent le jeûne du vendredi et la vigile, contentons-nous pour l’instant de ne parler que sommairement de ces sujets. » (§ 17) La citation du § 14 indiquent que la Catéchèse 18 a été prononcée vers la fin du carême, le matin (comme chaque catéchèse baptismale d’après Égérie27) ; et il s’agissait sans doute, d’après le § 17, d’un samedi : l’auteur veut dire qu’il va maintenant faire court, à cause de la fatigue due à la longueur de sa prédication et en plus du jeûne plus rigoureux du vendredi ainsi que de la vigile qui vont avoir lieu. En carême d’après Égérie28, une vigile avait lieu en effet chaque nuit du vendredi au samedi. Il ne s’agit donc vraisemblablement pas d’un vendredi, comme l’interprètent certains29, qui lisent dans les mots « la fatigue que vous avez déjà supportée » une allusion au carême finissant et, dans les mots en italique, une allusion à la fatigue supplémentaire que ses lecteurs vont devoir endurer en ce jour et dans la nuit suivante.

Conclusion

Les allusions qui existent, en amont de Cyrille, à un cycle de catéchèse en trois semaines avant Pâques (voir les auteurs cités à la note 8) et en aval (dans LG en particulier) permettent de conclure que, à l’époque de la prédication de ces homélies, dans la « jeunesse » de Cyrille, on connaissait encore la tradition ancienne de former les catéchumènes au cours des trois dernières semaines avant Pâques par une catéchèse, du lundi au samedi, d’où la série traditionnelle (déjà pour Cyrille) des 18 lectures (3 x 6 = 18).

Écrits

Baptême d’un catéchumène dans l’art au christianisme primitif.

L’Évêque Cyrille de Jérusalem connut de multiples tribulations pour défendre la foi en la divinité de Jésus-Christ. Il fut exilé à trois reprises. Il a laissé des Catéchèses baptismales, qui font connaître comment on préparait les adultes au baptême dans la seconde moitié du IVe siècle30. Ses catéchèses sont l’un des trésors de l’Église ancienne.

Cyrille s’adresse ainsi aux catéchumènes, ceux en qui « résonne l’écho » de Dieu, avant que, par le baptême, ils ne deviennent des « fidèles »31 : L’écho résonne en toi

« Vois un peu de quelle immense dignité Jésus te gratifie. On t’appelait « catéchumène » lorsque tu étais seulement environné par l’écho. Tu entendais parler d’une espérance, mais sans la voir ; de mystères, mais sans les comprendre ; des Écritures, mais sans en voir la profondeur. L’écho, désormais, ne résonne plus autour de toi, l’écho résonne en toi : car l’Esprit qui t’habite fait désormais de ton intelligence une maison divine. Quand tu entendras parler de ce qui est écrit sur les mystères, alors tu comprendras ce que tu ne savais pas. Et ne pense pas que tu ne reçois pas grand-chose : homme misérable, tu prends un nom qui appartient à Dieu ! Écoute parler Paul : Dieu est fidèle (1 Co 1, 9).
Évite donc soigneusement que ton nom soit celui d’un fidèle et l’intention celle d’un infidèle. Il n’est pas permis de recevoir le baptême deux et trois fois, car alors on pourrait dire : « J’ai une fois manqué mon coup, la seconde fois je vais redresser la situation. » Dieu ne cherche chez nous rien d’autre que la bonne intention. Ne dis pas : « Comment mes péchés seront-ils effacés ? » Moi, je te dis : « Par la volonté, par la foi. » Quel chemin plus court ? »

— St Cyrille de Jérusalem.Catéchèse préliminaire 6-8, trad. J. Bouvet revue, Paris, Migne, Les Pères dans la foi 53-54, 1993, p. 28-29.

Le Baptême du Christ, apparition du Saint-Esprit (Colombe), vers 1450, Piero della Francesca, National Gallery.

Commentaire selon Jean (Jn 15, 26 à 16, 4a32) La grâce, un don universel

« Partout la grâce est donnée, et dans les bourgs et dans les villes ; elle l’est aux simples et aux savants, aux esclaves et aux hommes libres ; c’est que la grâce ne vient pas des hommes, mais elle est le don qui vient de Dieu par l’intermédiaire des hommes (Sept dons du Saint-Esprit).

Si c’est la foi qui t’amène, les hommes prêtent leur ministère pour ce qui se voit, mais l’Esprit Saint donne ce qui ne se voit pas. Si tu as la foi, non seulement tu reçois le pardon de tes péchés, mais tu feras aussi des œuvres qui dépassent l’homme. Puisse-t-il donc arriver que tu sois digne du charisme de prophétie33 ! Car tu reçois la quantité de grâce dont tu es capable et non pas celle que je détermine, moi. Il arrive que je dise de petites choses tandis que tu en reçois de plus grandes ; large est en effet le domaine de la foi. Le Défenseur, ton gardien, reste avec toi en toutes circonstances. Il aura soin de toi comme de son soldat à lui, en tes entrées, en tes sorties et quand tu seras exposé aux embûches ; il te donne toutes sortes de donations et de charismes, si tu ne le contristes pas par tes péchés, car il est écrit : N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, qui vous a marqués de son sceau en vue du jour de votre délivrance (Ep 4, 30). »

— St Cyrille de Jérusalem. Catéchèse baptismale 17, 35-37, trad. J. Bouvet revue, Paris, Migne, coll. « Les Pères dans la foi » 53-54, 1993, p. 295-296.


Saint Cyrille de Jérusalem (Évêque, docteur de l’Église, 315-386)

Catéchèse baptismale de Cyrille de Jérusalem sur le symbole de la foi. Pourquoi l’Église est appelée « catholique » ?

https://adoratioiesuchristi.blogspot.com/2014/07/catechese-prebaptismale-de-saint.html


Catéchèse de Saint Cyrille de Jérusalem sur l’importance de la transmission du Symbole. Pourquoi faut-il s’attacher au credo ?

https://adoratioiesuchristi.blogspot.com/2015/11/catechese-baptismale-de-saint-cyrille.html

Catéchèse prébaptismale de Saint Cyrille, évêque de Jérusalem, sur les deux avènements du Christ.

https://adoratioiesuchristi.blogspot.com/2014/11/catechese-prebaptismale-de-saint.html

Catéchèse baptismale de Saint Cyrille de Jérusalem. La croix du Christ : instrument de supplice, ou médaille de la victoire ?

http://emanley12.canalblog.com/archives/2018/01/31/36100399.html

Prière de Saint Cyrille de Jérusalem, nous permettant de mieux vivre la période du carême : « Débarrasse toi de toute préoccupation humaine car tu joues ton âme ».

http://site-catholique.fr/index.php?category%2FPrieres%2Fpour-le-Careme



📜 💚 🇮🇪 ☘ Fête de saint Patrick (Évêque, « Apôtre de l’Irlande » (385-461) ☘ 🇮🇪 💚 📜 Fête le 17 mars ☘ 🇮🇪 💚

📜 🇮🇪 ☘ Fête de saint Patrick (Évêque, « Apôtre de l’Irlande » (385-461) ☘ 🇮🇪 📜 Fête le 17 mars ☘ 🇮🇪 💚

17 mars

Les saints du jour

Patrick d’Irlande

Patrick d’Irlande, saint Patrice en français ou saint Patrick en anglais (latin : Patricius ; irlandais : Pádraig ˈpˠaːd̪ˠɾˠəɟ), est un saint semi-légendaire qui a été le sujet d’une grande production hagiographique interrogée par la critique moderne qui cherche à établir le degré d’historicité de ce personnage. Sur une mince trame historique, l’imagination des hagiographes a en effet brodé quantité d’épisodes qui ont gardé fort peu de rapports avec les faits historiques, construisant la légende patricienne sur laquelle les travaux des chercheurs modernes ont progressivement discerné le souvenir de traditions païennes de l’Irlande, des emprunts à la Bible et des topos littéraires1,2.

Les dates et lieux traditionnellement retenus, relatifs à sa biographie, sont une naissance vers 386 en Bretagne insulaire, une mission en Irlande en 432 et une mort le 17 mars 461 à Down, Ultonie. Cette tradition en fait un saint chrétien fêté le 17 mars3. Des traditions concurrentes lui donnent une date de naissance comprise entre 373 à 390, une date de mort vers 460 ou entre 489 et 496, les dates tardives résultant probablement d’une confusion avec Palladius4.

Saint patron de l’Irlande, il est considéré comme son évangélisateur et comme le fondateur du christianisme irlandais. La légende de ce missionnaire thaumaturge n’est ainsi pas purement hagiographique et mythique, mais elle a aussi un caractère patriotique et nationaliste1.


Mosaïque de saint Patrick

Saint Patrick, Évêque « Apôtre de l’Irlande » (385-461)

Patrick, jeune gallois d’une famille chrétienne, à 16 ans est enlevé par des pirates et vendu comme esclave en Irlande. Il y passe six ans puis s’enfuit et retrouve ses parents.

Après un séjour en France où il est consacré évêque, il se sent appelé à revenir dans cette Irlande de sa servitude pour l’évangéliser. Il y débarque en 432 et multiplie prédications et conversions dans une population dont, par force, il connaît bien les coutumes et la langue.

Au Rock de Cashel, lors d’un sermon demeuré célèbre, il montra une feuille de trèfle : « Voilà la figure de la Sainte Trinité ». Les figures de triades étaient familières à la religion celtique : le trèfle deviendra le symbole de l’Irlande. On pense que la plupart des druides devinrent moines, adoptant la religion chrétienne présentée avec tant de finesse et de conviction.

Lorsque meurt Patrick, à Armagh, l’Irlande est chrétienne sans avoir compté un seul martyr et les monastères y sont très nombreux.

« Saint Patrick fut le premier Primat d’Irlande. Mais il fut surtout celui qui sut mettre dans l’âme irlandaise une tradition religieuse si profonde que chaque chrétien en Irlande peut à juste titre se dire l’héritier de saint Patrick. C’était un Irlandais authentique, c’était un chrétien authentique: le peuple irlandais a su garder intact cet héritage à travers des siècles de défis, de souffrances et de bouleversements sociaux et politiques, devenant ainsi un exemple pour tous ceux qui croient que le Message du Christ développe et renforce les aspirations les plus profondes des peuples à la dignité, à l’union fraternelle et à la vérité. »  (discours au Corps diplomatique – saint Jean-Paul II – 29 septembre 1979)



La Saint-Patrick rassemble des milliers de Français autour de concerts, dans des pubs, dans la rue, des soirées souvent arrosées de bière. On en oublierait presque qu’à l’origine, il s’agit d’une fête religieuse en l’honneur du saint patron irlandais. De la célébration religieuse à la fête de la bière, le récit de la Saint-Patrick… Images d’archive INA Institut National de l’Audiovisuel


La Saint-Patrick est une fête mondialement connue car célébrée aussi bien en Irlande qu’aux Etats-Unis ou en Australie. Il est d’usage de parader en vert, couleur du trèfle symbole de l’Irlande, mais aussi d’entonner certains chants célèbres et caractéristiques de cet événement très suivi. Ce film propose d’écouter une partie de ce répertoire, dans le cadre magnifique de la première église d’Irlande, la cathédrale Saint-Patrick d’Armagh, et à Down où se trouve la tombe du saint évangélisateur.

Be Thou My Vision, Danny Boy, The Deers’ Cry… le producteur de concert et chef d’orchestre John Anderson présente ce panachage passionnant de paroles, de musiques et de danses où le contemporain répond au classique, le méditatif à l’exubérant, le sacré au profane… tous les styles se combinent pour cette veillée très spéciale, joyeux hommage à l’un des saints les plus célèbres du monde. UNE PRODUCTION ANDERSONGS 2020 – Réalisée par Mark Wooderson


Fête de la Saint-Patrick


Musique, danse, bière, la Saint-Patrick, ce n’est pas qu’une journée festive où on se rejoint entre amis dans les bars. C’est avant tout la célébration de l’évangélisation de l’Irlande au Ve siècle de notre ère, par Maewyn Succat devenu saint Patrick. Cette semaine, Le Pourquoi du Comment vous propose de traverser la Manche pour tout savoir de l’histoire du saint et de son influence aux Etats-Unis et en Europe.
Le Pourquoi du Comment du 14/03/2015.


La fête de la Saint-Patrick (parfois appelée Saint-Patrice en français, Patrick étant l’équivalent anglais de Patrice) est une fête chrétienne qui célèbre, le 17 mars, saint Patrick, le saint patron de l’Irlande.

Une fête chrétienne

Le personnage de saint Patrick

Évangélisateur de l’Irlande, saint Patrick aurait expliqué le concept de la Sainte Trinité aux Irlandais lors d’un sermon au roc de Cashel grâce à un trèfle, en faisant ainsi le symbole de l’Irlande (l’emblème officiel du pays étant la harpe celtique). La légende raconte que c’est à ce moment-là qu’il chasse tous les serpents du pays, action qui symbolise la conversion du peuple irlandais : les serpents représentent les croyances polythéistes celtiques des irlandais, assimilées à Satan, rendu responsable de l’ignorance du Dieu véritable. Chaque année, les citoyens d’Irlande mettent un trèfle à la boutonnière pour se souvenir de cet enseignement religieux

La célébration

La Saint-Patrick est une fête chrétienne célébrée par l’Église catholique, l’Église orthodoxe, l’Église luthérienne, et l’Église d’Irlande (anglicane). Elle est déjà célébrée par les Irlandais aux IXe siècle et Xe siècle. Par la force de l’observation de cette tradition à travers le temps, saint Patrick est associé à l’Irlande dans le système de patronage religieux. Le 17 mars est reconnu comme une fête légale dans le calendrier irlandais le 16 mars 1607 et est inscrit au calendrier liturgique catholique le 16 mars 16072, grâce à l’influence de Luke Wadding, un moine scolastique franciscain né à Waterford. La fête de Saint-Patrick devient alors un jour saint d’obligation pour les catholiques d’Irlande. La fête a toujours lieu pendant le Carême. Il est de tradition pour certains chrétiens observant un jeûne pour le Carême de le rompre pendant la journée de la Saint-Patrick. Le calendrier de l’Église évite les observations de fêtes de saints durant certaines solennités, déplaçant ainsi le jour du saint en dehors de la période d’observation. La Saint-Patrick est périodiquement affectée par ce changement, lorsque le 17 mars tombe pendant la semaine sainte. Cela est déjà arrivé en 1940 : la Saint-Patrick a été observée le 3 avril pour éviter de coïncider avec le dimanche des rameaux, et de nouveau en 2008 où elle a été observée le 14 mars.

Elle est progressivement devenue une fête civile, symbole de reconnaissance de tous les irlandais. Ainsi aux États-Unis, principal pays de la diaspora irlandaise, la première célébration de cette fête a lieu à Boston en 1737 et la première parade officielle à New York en 17623.

La Saint-Patrick n’est pas la fête nationale irlandaise

Contrairement à une croyance populaire répandue, notamment à cause d’un phénomène de simplification de la part des étrangers et des médias, la Saint-Patrick n’est pas la fête nationale irlandaise. L’État d’Irlande ne possède pas de fête nationale au sens propre du terme (comme le 14 juillet en France, qui a été décrété par l’État français en 1880 et qui célèbre la Nation, ou le 1er juillet au Canada).

Il s’agit d’une fête religieuse adoptée par l’Église chrétienne au début du XVIIe siècle, jour férié en Irlande (Irlande et Irlande du Nord) et dans l’île de Montserrat, et qui est très observée par les Irlandais. Elle est comparable en ce sens à la Saint-David au pays de Galles, à la Saint-Andrew en Écosse ou à la Saint-Yves en Bretagne. Cependant, ce jour du calendrier liturgique n’a jamais fait l’objet d’un acte de la part de l’État irlandais pour en faire sa fête nationale, qui célébrerait la Nation irlandaise.

Un jour rendu férié au XXe siècle

En 1903, la Saint-Patrick devient un jour férié officiel en Irlande, ceci grâce au Bank Holiday Act de 1903 (en), un acte du Parlement du Royaume-Uni introduit par James O’Mara (en). Celui-ci a plus tard introduit la loi requérant que les pubs soient fermés le 17 mars, après que la consommation d’alcool est devenue hors de contrôle, une clause qui a plus tard été abrogée dans les années 1970. Lorsque la Saint-Patrick tombe un dimanche, le jour férié est déplacé au lundi, permettant aux citoyens irlandais de bénéficier du nombre complet de leurs jours fériés actés par le gouvernement.




La saint-Patrick, fêtée le 17 mars, est le jour le plus important de l’année pour les irlandais du monde entier. Si officiellement l’Irlande n’a pas de fête nationale, la Saint Patrick en tient lieu. Mais qui était ce fameux Saint-Patrick? Pourquoi sa fête est-elle si importante en Irlande ?


This video is about St Patricks Day Highlights 2014


Montage d’archives montrant plusieurs défilés de la Saint-Patrick, patron des Irlandais, à Montréal, des années 1930 à nos jours. Source : Montage d’archives (1930?-2019)


The Home of St Patrick’s festival celebrates the legacy of Ireland’s patron saint in Ireland’s spiritual capital. Let church choirs, traditional Irish musicians and poets take you on a journey through counties Armagh and Down while performing in the breathtaking St Patrick’s Cathedral.


Church choirs, traditional Irish music and emotive poetry, listen to this incredible performance celebrating St Patrick’s legacy!

📜 Fête de sainte Louise de Marillac (Veuve et cofondatrice des « Filles de la Charité », † 1660) 👩‍👧‍👦 🇫🇷 📜 Fête le 15 mars

📜 Fête de sainte Louise de Marillac (Veuve et cofondatrice des « Filles de la Charité », † 1660) 👩‍👧‍👦 🇫🇷 📜 Fête le 15 mars

Sainte Catherine Labouré était Membre de la congrégation des Filles de la charité.

Les saints du jour

Louise de Marillac

Louise de Marillac (Paris, 12 août 1591Paris, 15 mars 1660) est une aristocrate française, fondatrice avec saint Vincent de Paul des Filles de la Charité. Béatifiée en 1920, reconnue sainte par l’Église catholique et canonisée en 1934, elle a été proclamée Sainte Patronne des œuvres sociales en 1960. Elle est commémorée le 15 mars selon le Martyrologe romain, et le 9 mai par la congrégation des Filles de la Charité.


Sainte Louise de Marillac, Veuve et cofondatrice des  « Filles de la Charité »

Dans le Calendrier liturgique universel de l’Église, la fête, actuellement, reste au 15 mars.

La célébration de la fête de Sainte Louise de Marillac (15/03), tombe toujours durant le Carême. Ce temps liturgique n’est  pas très favorable à la célébration des solennités. Or, en toute Congrégation, la fête du saint fondateur a rang de solennité. La Congrégation F.D.L.C. (Filles de laCharité), par Décret du 4 janvier 2016, a fixé au 9 mai, date de sa béatification, la solennité de sa fondatrice.
 



La belle histoire de Sainte Louise de Marillac – pour les enfants


Sainte Louise de Marillac est-elle la première féministe de France ?

Qui était sainte Louise de Marillac ? Cette femme, soeur, qui a vécu il y a plusieurs siècles et qui a fondé les Filles de la Charité est-elle la première féministe de France ?

Réponses avec le père Bertrand, curé de Drancy, dont une des églises porte le nom de la sainte.

Et plus d’infos sur http://www.saint-denis.catholique.fr


Lors de cette capsule, l’abbé Gilles Baril nous fera découvrir une sainte qui est à l’origine de plusieurs oeuvres sociales qui ont révolutionné la pratique chrétienne de son temps: Sainte Louise de Marillac


Biography in English


Filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul

Les Fillesa de la charité de Saint-Vincent-de-Paulb (en latin : Societas Filiarum Caritatis a S. Vincentio de Paulo) sont une société de vie apostolique féminine de droit pontifical membre de la fédération des Sœurs de la charité.

Histoire

Instituées en 1633 par saint Vincent de Paul, et dont la formation fut confiée à Louise de Marillac, elles se consacrent au service des malades et au service corporel et spirituel des pauvres.




Au Caire, les cinq religieuses de la Communauté des Filles de la Charité vivent chaque jour le service du plus pauvre auprès de la population égyptienne. « Vous avez une vocation qui vous oblige à assister indifféremment toutes sortes de personnes, hommes, femmes, enfants, et généralement tous les pauvres qui ont besoin de vous » disait Saint Vincent De Paul, fondateur de leur communauté.

Dès le début du 20ème siècle, elles fondent ici la maison de la « Miséricorde », et ouvrent un dispensaire pour soigner les malades. Au coeur de leur vocation : une vie de prière et le service des plus pauvres, dans un quartier musulman, où les religieuses côtoient chaque jour la population. Un reportage en partenariat avec l´OEuvre d´Orient.
Reportage du 27/04/2017.


Au Caire, à Helmieh, le Collège Saint-Vincent de Paul, fondé en 1903 par les Filles de la Charité, accueille aujourd´hui 1220 élèves, du jardin d´enfants à la Terminale. Situé en plein quartier musulman, au pied de la citadelle de Saladin et de la Mosquée Méhémet Ali, près de 25% de ses élèves sont pourtant chrétiens et rejoignent chaque jour le collège par des autocars appartenant au Collège.

Une aide essentielle pour les religieuses qui veulent donner une qualité d´éducation aux enfants pauvres et particulièrement aux filles des chiffonniers de Mokattam, vivant au milieu des ordures. Dans un pays où seulement 10% de la population est chrétienne, la présence d´élèves chrétiens au coeur de l´établissement est essentielle pour la directrice, Soeur Marcelle Bichara, pour développer une pédagogie d´ouverture, apprendre à vivre ensemble et construire la paix. Un reportage en partenariat avec l´OEuvre d´Orient.
Reportage du 20/04/2017.


Soeur Valérie, Fille de la Charité en Grèce, témoigne de sa vocation auprès de personnes âgées et en difficultés financières. Pourquoi a-t-elle choisi cette vie consacrée à Dieu et au service des plus pauvres ? A l’occasion de cette Année de la Vie consacrée, KTO propose chaque semaine le portrait d’une religieuse, un religieux, un prêtre ou un laïc consacré.
Des vies consacrées du 16/09/2014.


 » Dans mes patients, je vois le visage du Christ « , témoigne soeur Catherine, Fille de la Charité à l’hôpital de la Paix d’Istanbul en Turquie. Comment vit-elle sa vocation dans un pays à 97% musulman ? A l’occasion de cette Année de la Vie consacrée, KTO propose chaque semaine le portrait d’une religieuse, un religieux, un prêtre ou un laïc consacré.
Des vies consacrées du 25/11/2014.


Les Filles de la Charité de Fribourg travaillent comme bénévoles à Point d’Ancrage, auprès des requérants d’asile. Par cette solidarité envers les plus démunis, elles restent fidèles à l’héritage de saint Vincent de Paul, dont ont célèbre cette année les 400 ans du charisme.


A 12 ans, en lisant le livre de Sainte Catherine Labouré, Soeur Maggy pense qu’un jour, elle sera comme elle. Aujourd’hui, elle témoigne de sa vocation et de sa vie tournée vers le service des pauvres. A l’occasion de cette Année de la Vie consacrée, KTO propose chaque semaine le portrait d’une religieuse, un religieux, un prêtre ou un laïc consacré.
Des vies consacrées du 27/10/2015.


Après la chute du communisme en Europe de l’Est, plusieurs maisons ont ouvert dans les Provinces de Pologne et de Slovaquie, (16 jusqu’à présent) en Ukraine, en Biélorussie, en Russie et au Kazakhstan.